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19 février 2009 4 19 /02 /février /2009 15:43

Des barrils oubliés dans la mer ! C'était si simple de faire disparaître des résidus radioactifs et autres déchets en les dissimulant dans les profondeurs des océans ! Dès les années 1960, des îles Shetland  au détroit de Gibraltar, on avait  pris la mauvaise habitude  de déverser toutes les poubelles dans la mer ! Au fond des  océans , la vie s'est adaptée, des espèces ont disparu ou sont en voie de disparition...




Les Echos n° 18140 du 25 Avril 2000 • page 75  (extrait, ci-après)

L'interdiction de jeter en mer des déchets industriels et radioactifs au large des côtes européennes date seulement de 1993.

." En 1971, le « Stella Maris », un navire néerlandais, quitte le port d'Amsterdam pour immerger des déchets chlorés en mer du Nord. L'opinion publique se mobilise. Six mois plus tard, en 1972, les Etats européens riverains de l'Atlantique signent la convention d'Oslo, le premier traité international destiné à limiter l'immersion des déchets industriels, des boues des égouts, ainsi que l'incinération en mer des déchets industriels liquides. La même année, les Etats s'engagent dans la convention de Londres non pas à interdire mais à réglementer l'immersion en mer des déchets de haute radioactivité. Les textes d'Oslo et de Londres témoignent d'une première prise de conscience. Mais guère plus. Jusqu'aux années 80, la mer restera une vaste poubelle muette, invisible, pratique. De 1974 à 1982, près de 140.000 tonnes de fûts de déchets radioactifs ont été coulés dans l'Atlantique, dont 80 % par l'industrie nucléaire britannique ! Pour les ingénieurs du nucléaire, le fond des océans est le site de stockage le plus sûr : l'eau absorbe la chaleur et dilue la radioactivité...

Objectif : rejets quasi nuls en 2020 "

Un combat gagné ! La lutte contre la pollution de l'Atlantique reste un problème. La pollution en mer est provoquée à 80 % par l'industrie et le train de vie des hommes !  Le travail à accomplir est encore et reste important. D'autre part,  les immersions en mer se font toujours !  les Japonais ont  surpris des navires russes en train de déverser,  des fûts de déchets radioactifs dans la mer du Japon ....

 Une plate-forme pétrolière....

Au large, en mer du Nord, gisement de pétrole épuisé , plus assez rentable , le déménagement était simple et rapide, la plate-forme pétrolière était immergée, coulée, enfouie, dissimulée à tous les regards !

En 1983, un moratoire est prononcé sur l'immersion de matières radioactives en mer. Il ne sera confirmé qu'en 1993 ! Cette année-là, la convention de Londres, placée sous le contrôle de l'Organisation maritime internationale, interdit définitivement l'immersion et l'incinération en mer des déchets industriels et des déchets radioactifs. En dépit de l'opposition de la Grande-Bretagne !

On se souvient d'une époque où on entendait dire que les mers pouvaient nourrir tous les enfants de la terre ! Aujourd'hui, tout a changé ! Les pêcheurs ont des quotats de pêche à respecter ! Les contôles sont sévères et malheur à celui qui fait des prises plus importantes que le tonnage autorisé !

Les thons rouges se font rares ! Les cabillauds, qui nous revenaient salés sous l'appellation : "morue "  et tellement appréciés dans l'aïoli se raréfient ! Les bans de sardines ne sont plus aussi nombreux et frétillants ... Et on peut continuer à citer d'autres espèces ...

La cause de cette diminution inquiétante de la faune aquatique serait : " trop  pêché , bâteaux et filets trop performants, mailles trop petites,  " la solution se retourne contre les marins pêcheurs, ces inlassables travailleurs de la mer ! On va jusqu'à limiter le nombre des bateaux de pêche ....

La Cause du changement inquiétant de la faune aquatique ne serait-elle pas liée aux déversements et enfouissements de déchets radioactifs et hautement toxiques dans les mers et océans ?

 Tant que nos scientifiques n'auront pas mis au point des procédés efficaces pour rendre les déchets dangereux inoffensifs ( faudrait-il donner les moyens à la recherche de travailler) les enfouissements de déchets radioactifs ne sont pas des solutions acceptables !

Enfouir dans les fonds marins, enfouir dans le sol  ! C'est cacher au regard de tous et oublier pour l'éternité !
Les effets pervers avec tout le cortège de leurs enfants démons n'oublieront pas les générations futures !

Devant un majestueux coucher de soleil, on ne peut que penser à une terre merveilleuse où les hommes de tous les continents vivent dans la paix et  le respect de la vie ! Le long chemin de lumière qui ondule de vague en vague, court autour de la terre, inlassablement , sans jamais rattraper l'astre étincelant ....

Il a fallu trente ans de lutte pour faire cesser l'immersion de déchets industriels dans l'Atlantique et la mer du Nord ! Et ce n'est pas fini !
Quelques rappels :

Dans le monde, il y eut des centaines d'incidents et des dizaines d'accidents qu'il est vain de citer. Pour les plus anciens, rappelons seulement l'accident de Béryl de Niveau 5 survenu le 1 mai 1962. La France réalisait son deuxième essai souterrain dans le Sahara quand la montagne devant contenir l'explosion s'effondra et libéra un nuage radioactif dans l'atmosphère ! Vraiment l'amateurisme des militaires Français est parfois sidérant !



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18 février 2009 3 18 /02 /février /2009 21:42
L'environnement ! La vie paisible de nos campagnes menacée la pollution nucléaire ...



L’environnement ! C’est un sujet souvent abordé ! Tant mieux, cela signifie que l’on met tout en œuvre pour notre bien-être ! Chaque maison individuelle qui ne peut être raccordée à un collecteur d’égouts doit avoir une fosse septique . Les agriculteurs ont obligation de mettre leur exploitation aux normes ! Les fosses à purin classiques ne conviennent plus ! Ils doivent, pour des sommes astronomiques , s’équiper de diverses cuves de décantation  et construire des hangars pour stocker le fumier ! Alors que depuis des années, les agriculteurs stockent le fumier dans des champs, éloignés des village et que le purin s’écoule dans des fosses étanches situées près des étables. Les épandages de fumier et de purin se faisant sur les terres,  en automne, pour limiter l’emploi d’engrais chimiques. Dans les fermes d’élevage, ça existe toujours cette manière de fertiliser les sols ! La contrainte de mise aux normes est une charge importante pour les exploitants ! Ils sont soumis à des contrôles rigoureux  avec amendes ! La pollution engendrée par le fumier et le purin est-elle si dangereuse ? Il y a les odeurs qui peuvent déranger ! Ces effluves désagréables font partie des campagnes où l’élevage est important mais cela ne dure pas et il n’y a pas de risques d’irradiation ! Si c’est dangereux , ce danger a au moins l’avantage de se signaler par son odeur !


"Les accidents sont davantage liés à des manques de rigueur qu'à l'âge des centrales", estime Mr Gubta, directeur adjoint de l'ASN, soulignant que le parc nucléaire français, constitué de 58 réacteurs d'un âge moyens de 22 ans, est plus jeune que les parcs allemands ou américains."


Manque de rigueur ! Quand il s’agit de radioactivité, c’est inadmissible ! D’autre part, cette comparaison avec les centrales allemandes et américaines n’est pas sérieuse ! Si leurs parcs nucléaires sont plus vieux que le nôtre, peut-être sont-ils mieux entretenus et mieux contrôlés que le nôtre ? De plus, ce ne sont pas des références ! L’important, quand il s’agit d’une énergie aussi dangereuse, les installations de production doivent tendre à la perfection !


"Si la Criirad (Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité) ne note pas d'augmentation notable du nombre d'incidents, elle souligne néanmoins que "de plus en plus de travailleurs du nucléaire tirent la sonnette d'alarme sur leurs conditions de travail".


Les travailleurs constatent du laisser-aller dans la  maintenance ! Des canalisations rouillées, des conditions de travail mettant leur santé en danger……


"En quinze jours en juillet, lors de quatre incidents distincts, 126 travailleurs ont été contaminés, ce qui renforce le sentiment de négligence (...), l'ASN doit insister pour que ses préconisations soient appliquées," estime Bruno Chareyron, ingénieur en physique nucléaire pour la Criirad.

Le 17 novembre, l'ASN a mis en demeure la centrale de Cruas- Meysse (Ain) de mieux entretenir et signaliser ses canalisations transportant des liquides explosifs, dont certaines sont rouillées."


Des canalisations rouillées ! Cela ne s’est pas fait en un jour ! Qui a contrôlé la Centrale de Cruas- Meysse ?

"Dans la nuit du 7 au 8 juillet, une cuve de la Socatri, filiale d'Areva spécialisée dans le traitement de déchets nucléaires, déborde suite à une fissure et 74 kg d'uranium sont rejetés dans l'environnement. L'autorité de sûreté nucléaire (ASN) impose aussitôt l'arrêt immédiat de la station de traitement, alors en fin de vie."


Une fissure ! Des spécialistes ne pouvaient-ils pas constater l’usure de cette cuve avant l’accident ?


"Reconnaissant qu'il y a eu du retard dans l'alerte et "un manque de coordination évidente entre les équipes en charge des travaux et celles de l'exploitation", Areva a remplacé le directeur de l'usine."


Est-ce sérieux ce retard dans l’alerte et le manque de coordination entre les équipes chargées des travaux  et celles de l’exploitation ? Le Directeur a été renvoyé ! Où ?


"Cet incident, pourtant considéré comme une simple "anomalie" par l'ASN, entraîne l'interdiction de se baigner, de pêcher, et de consommer l'eau provenant de captage privés, provoquant une vive inquiétude parmi les riverains du Tricastin."


Cette anomalie n’est pas si insignifiante … puisqu’elle entraîne des interdictions importantes : plus de baignades, de pêche, ne pas consommer l’eau … Ne pourrait-on pas y ajouter l’interdiction de consommer les fruits et légumes qui poussent sur les terrains irrigués par l’eau de la nappe phréatique contaminée … et le vin des Coteaux du Tricastin….On comprend l’inquiétude des vignerons qui demandent à changer le nom de leur terroir !


"Le 17 juillet, une seconde fuite d'uranium a eu lieu dans l'usine FBFC de Romans (Drôme), filiale d'Areva fabriquant du combustible nucléaire."


Que peut-on penser de ces incidents ? Les contrôles sont-ils inexistants ? Les contrôleurs sont-ils incompétents ? Manquent-ils de moyens ?


"Dans ce contexte, la contamination de quinze sous-traitants de la centrale EDF de Saint-Alban (Isère), le 18 juillet, puis d'une centaine de salariés et sous-traitants de la centrale EDF du Tricastin, déclenchent de nombreuses réactions."


"Pourtant, pour l'ASN, "il n'y a pas d'évolution à la hausse du nombre d'accidents depuis 2005". "En terme de radioprotection, la tendance est à l'amélioration: grâce aux leçons tirées des incidents précédents, les doses reçues par les travailleurs sont en diminution", affirme Olivier Gupta, directeur adjoint de l'ASN."

Quel est l’avis des travailleurs irradiés ? Sans compter les riverains de tous ces lieux d’incidents nucléaires ! Tricastin, Roman, Saint Alban...et des lieux d'enfouissement de déchets radioactifs...

 Pour protéger notre environnement , notre santé et notre vie n’y a-t-il pas des contrôles encore  plus importants à effectuer ?
 On  peut s’étonner des conclusions sur les incidents survenus dans des installations nucléaires et publiées : (©AFP / 14 décembre 2008 15h26)

 

La radioactivité est inodore, insidieuse, silencieuse et malfaisante !

 

 

 
Centrale de Cruas- Meysse ( Ain )

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17 février 2009 2 17 /02 /février /2009 18:43

Devenons conscients, nous sommes tous concernés, la radioactivité silencieuse et insidieuse  nous attaquent et , souvent, dans des lieux qui nous semblent idylliques , calmes et reposants ! Qui penserait que ce magnifique cadre  de verdure est une couverture magique pour un amas de boues et gravats radioactifs ! Tous les spectateurs de Pièces à conviction, la France contaminée, ont pu constater les dégâts de tous ces épandages radioactifs qui sont devenus des parcours de santé, des parkings de stade, des pièces de verdure luxuriantes...qui affolent  toujours et encore pour de nombreuses années,  les compteurs geigers  et autres appareils de contrôle de la radioactivité !





Fuites du Tricastin : une prise de conscience tardive......

Observations faites par Greenpeace :

— Paris, le 17 juillet 2008 - Suite à la découverte au Tricastin d'une contamination plus ancienne d'une nappe phréatique et à la polémique qui en découle, Greenpeace s'étonne qu'on ne redécouvre qu'aujourd'hui la dangerosité liée à l'industrie du nucléaire et sa capacité à polluer l'environnement. Quant à la déclaration du ministre Borloo de faire vérifier les nappes phréatiques près de toutes les centrales, Greenpeace ne peut que soutenir cette volonté de faire un bilan des problèmes de pollution que pose le nucléaire.....

De manière générale, Greenpeace s'étonne de cette soudaine et tardive préoccupation au sujet des problèmes de pollution posés par le nucléaire. Cela fait en effet des années que l'organisation environnementale dénonce ces pollutions et les met en évidence, qu'elles soient accidentelles ou liées à un fonctionnement normal.

L'usine de retraitement de La Hague (Manche) par exemple, est autorisée à rejeter en moyenne, chaque jour, plus de 11 000 fois ce qui a fui à Tricastin, et la dizaine de centres de stockage français fuient en permanence. La nappe phréatique située sous le centre de stockage de la Manche est donc affectée par une pollution permanente.
Les mesures effectuées par Greenpeace en 2006 montrent une concentration de 18 000 becquerels/litre, soit 180 fois la norme sanitaire européenne.

Tous les incidents liés au nucléaire sont passés sous silence ! La nouvelle arrive toujours avec retard ! Reconnue officiellement  en termes   rassurants : Il y a eu des fuites ! Mais,c'est absolument sans danger pour la population ! Ne serait-ce pas plus réaliste de conseiller une grande prudence sur les consommations d'eau, de lait, de légumes ...sans attendre !



 



Fuites d'uranium à la centrale de Tricastin.....
Par AFP, publié le 09/07/2008 00:08:33
Un rejet accidentel de 30 m3 d'effluents contenant 12 gr d'uranium par litre s'est produit mardi à Bollène (Vaucluse) sur le site de la centrale nucléaire du Tricastin, mais il ne présente pas de risque sanitaire immédiat, selon les autorités nucléaires.
"Cet incident a été déclaré niveau 1 par l'exploitant en liaison avec l'autorité de sûreté" nucléaire, au bas de l'échelle des incidents nucléaires qui va de 0 à 7, a déclaré à l'AFP Catherine Dalverny, directrice de la communication du site du Tricastin.

La conclusion est très minimisée par l'exploitant !

La Commission de recherche et d'information indépendante sur la radioactivité (Criirad) a dénoncé le "manque de fiabilité" de la centrale de Tricastin.
"Le risque sanitaire est effectivement faible, mais cet incident, non négligeable, fait suite à un nombre croissant d'autres incidents, montrant une dégradation de la gestion des déchets sur un site pourtant appelé à se développer", a déploré Corinne Castanier, présidente de la Criirad.

La population est exposée à une faible dose, de longue durée ! Nous savons que c'est nocif pour les êtres vivants , les plantes...

De son côté, l'organisation écologiste Sortir du Nucléaire a contesté dans un communiqué "les avis rassurants des autorités", jugeant "en effet impossible qu'un tel rejet, contenant de l'uranium, n'ait pas de conséquences importantes sur l'environnement et peut-être sur la santé de riverains".

Que doivent penser ceux qui ont bu pendant des années l'eau de la nappe  ? Les champs ont été irrigués par l'eau contaminée de la nappe phréatique ....

 Des analyses d'eau ont été réalisées immédiatement après l'incident chez les riverains. Elles ont révélé des taux élevés de radioactivité, que les scientifiques n'attendaient pas si tôt. Le transfert vers la nappe phréatique a-t-il été plus rapide que prévu ? Ou la contamination serait-elle plus ancienne ?

La station de traitement des effluents où s'est produit l'incident avait déjà été épinglée par l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Vieille de trente ans, l'installation de la Socatri devait être remplacée par une neuve - aujourd'hui achevée. Les inspecteurs remarquaient notamment, dans leur rapport de mai 2008 : « La canalisation qui évacue les effluents liquides de la Socatri, du fait de son ancienneté, a fait l'objet de fuites répétées en 2007. »

 Sachant qu'il s'agissait de rejets dangereux, ne pouvait-on pas faire ces travaux plus rapidement ? Pourquoi attendre la ou les fuites pour enfin remettre tout à neuf ? La santé et la vie n'ont pas de prix !

 Un organisme scientifique, l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), mène l'enquête pour dater et certifier l'origine de l'uranium retrouvé dans la nappe.



Criirad a rappelé  l'existence, sur le site du Tricastin, d'une butte de 8 mètres de hauteur contenant des déchets radioactifs militaires. Là, sous le talus couvert d'herbe et de roseaux, des fûts dorment sous la terre depuis les années 1970.

Dans l'incident de la Centrale nucléaire du Tricastin, plusieurs fuites ! On peut dire qu'il s'agit de négligence !

"Il est question de manquements répétés aux règles de sécurité "


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16 février 2009 1 16 /02 /février /2009 18:29
Centrale nucléaire de TCHERNOBYL

C’était le vendredi 26 avril 1986, à 01h 23, une explosion a détruit un réacteur de la centrale nucléaire de Tchernobyl ! Nous continuons à subir les effets pervers du nuage mortel....

La dalle supérieure du réacteur, qui pesait 2000 tonnes a été soulevée, presque verticalement . Une partie du cœur du réacteur a été projetée tout alentour, autour de l'installation et sur les habitations. Les rejets durèrent 10 jours, le "trou" du réacteur a été comblé par des matériaux largués par  hélicoptères.  Près de  deux milliard de becquerels de produits de fission ont été semés par le vent ! Ce jour-là, il soufflait du sud au nord. Le « nuage radioactif » s’est lourdement « épanché » sur le nord de l'Ukraine, le sud de la Biélorussie et de la Russie.


Le nuage continua sa route et, dans « son infinie bonté, il évita la France ! » Aucune consigne de prudence ne fut donnée à la population ! Nous avons été considérés comme des "Supermen" invincibles ! Aguerris à toutes les épreuves ! Vingt ans après, on s'aperçoit que le nuage a balisé son chemin ! Il n'a pas semé des petits cailloux comme le petit Poucet ! Non ! Il a semé des maladies de la thyroïde.., des cancers de toutes sortes.., des leucémies .... Les cancérologues ou oncologues ont énormément de travail de recherche ! Il faut trouver le protocole susceptible de soigner ou de donner un temps de rémission à leurs patients !.....

La même question se pose toujours. L'enfouissement des déchets radioactifs, dans les conditions actuellement proposéés, n'est pas sans danger ! Pourquoi vouloir continuer sur cette voie ? Nous connaissons tous les risques de contamination , pourquoi ne pas s'investir dans les énergies propres ?

Le solaire, la force des marée ....

Sans être des scientifiques, on peut être des observateurs !

Les scientifiques donnent toujours les termes « scientifiques » appropriés, en toutes circonstances ! Le simple observateur ne fait que des constats et peut commettre quelques erreurs de vocabulaire ! C’est ce que j’ai fait dans mon dernier article, publié le 15 février 2009

En vous présentant la photographie d’une rivière tourmentée, je me suis laissée emporter par les mots qui, au moment de l’écriture, exprimaient mon profond désarroi devant notre nature contaminée et dangereuse !

 Trop souvent, à l’ insu de tous, on y a déversé des déchets radioactifs et autres ! Les mots : Uranium ! Plutonium ! Ont jailli de mon inconscient, incontrôlables, comme l’est la radioactivité !

 Un visiteur venu sur mon blog m’a écrit : « Je doute fortement que l’on puisse trouver du plutonium dans votre océan de verdure ! ! » 

J’en conviens et je vous prie de m'excuser ! 

Mais, la réalité est que cette « rivière » regorge de boues radioactives ! Toute la faune aquatique s’est adaptée à l’uranium et à tous ses enfants empoisonnés ….

En parlant d’enfants, les enfants des hommes  furent nombreux à venir courir, jouer, pécher dans ce merveilleux cadre , à s’allonger à l’ombre des saules et à pique-niquer en famille !

L’interdiction de pécher et de manger les poissons de cette rivière est arrivée bien tardivement !

Oubli !.. Inconscience !.. Dissimulation de la vérité !…

A propos de TCHERNOBYL,  ( fait réel ) constat non scientifique :

 

Un éleveur de l’EST de la France nous raconte toujours ce qu’il a observé le 27 avril 1986, au matin :


L’hiver était passé, le beau temps s’était installé et, le 26 avril 1986, il  décida de lâcher son troupeau de bovins qui avait passé l’hiver à l’étable ou plus exactement « en stabulation  ». Heureux de retrouver l’herbe tendre, les animaux, tranquilles, le ventre plein, ruminèrent toute la journée et passèrent leur première nuit à la belle étoile ! Le 27 avril, vers sept heures, mon ami éleveur fut attiré par des meuglements désespérés ! Le troupeau se pressait contre la clôture et ne voulait plus rester dans la prairie ! Il n’y comprenait rien ! Il se dit : « Ces bêtes sont devenues folles ! » Il dût les laisser rentrer sous le hangar, elles étaient très excitées, les beuglements persistèrent un moment, c’était très inhabituel et inquiétant ! Le lendemain matin, le 28 avril, l’éleveur apprit la nouvelle de l’accident de TCHERNOBYL aux informations ! Aussitôt, il fit le lien avec l’anxiété de ses bovins et le passage du nuage radioactif ! Les animaux avaient senti le danger !


Extrait de Wikipédia :


« La catastrophe de Tchernobyl est un
accident nucléaire qui s'est produit le 26 avril 1986 dans la centrale nucléaire Lénine en Ukraine. Cet accident a conduit à la fusion du cœur d'un réacteur, au relâchement de radioactivité dans l'environnement et à de nombreux décès, survenus directement ou du fait de l'exposition aux radiations. Il est le seul accident classé au niveau 7 sur l'échelle internationale des évènements nucléaires (INES), ce qui en fait le plus grave accident nucléaire répertorié jusqu'à présent…..

Le 28 avril au matin, un niveau de radioactivité anormal est constaté dans la centrale nucléaire de Forsmark en Suède, qui entraîne l'évacuation immédiate de l'ensemble du site par crainte d'une fuite radioactive interne. Mais les premières analyses montrent que l'origine de la contamination est extérieure à la centrale et vient de l'est. L'après-midi du même jour, l'Agence France-Presse rapporte l'incident…… »

Liens officiels :

       Liens critiquant la thèse officielle :

Dernière nouvelle :

16/02/2009
Collision entre deux sous-marins atomiques : le lobby nucléaire a tenté une fois de plus de cacher la vérité aux citoyens
* C'est seulement après la révélation des faits par le quotidien britannique The Sun
que le ministère de la défense a reconnu la collision entre sous-marins atomiques



* Nucléaire militaire ou "civil", la vérité est systématiquement cachée aux citoyens
- conséquences des essais atomiques, collision entre sous-marins, etc
- contamination par les mines d'uranium, rejets des installations nucléaires, etc

Le 6 février dernier, le ministère de la défense annonçait que le sous-marin nucléaire lanceur d'engins (SNLE) le Triomphant avait heurté un "objet immergé" , ajoutant que c'était "probablement un conteneur". Et ce n'est que le 16 février, après les révélations par le quotidien britannique The Sun, que le ministère a reconnu la collision entre deux sous-marins atomiques.

Qui plus est, en faisant cet aveux juste après le "scoop" du Sun, le ministère reconnaît implicitement qu'il était bien au courant de cette collision entre sous-marins : autrement, il aurait annoncé qu'il allait faire "des vérifications" après ce qu'il aurait considéré comme une "hypothèse" du Sun.

Il apparaît donc clairement que, une fois de plus, le premier réflexe du lobby nucléaire est de cacher la vérité. Le Réseau "Sortir du nucléaire" appelle les citoyens à aller voir au cinéma le film Gerboise bleue, sorti le 11 février, et qui fait des révélations accablantes sur les contaminations en Algérie par les essais nucléaires français.

De même, le Réseau "Sortir du nucléaire" rappelle les affaires actuelles ou récentes concernant la contamination de la France et du Niger par les mines d'uranium, l'incapacité d'EDF a mesurer correctement la radioactivité dans l'environnement de ses propres centrales nucléaires, les fuites d'uranium au Tricastin et autres installations.
De plus, les autorités françaises continuent à faire la promotion du réacteur nucléaire EPR, et à vouloir en construire plusieurs en France, alors que les deux chantiers en cours, en Finlande et à Flamanville (Manche), sont de véritables désastres industriels et financiers.

Par ailleurs, les autorités persistent à prétendre - depuis 50 ans ! - que des solutions existent pour les déchets radioactifs. Après avoir jeté des milliers de fûts de déchets radioactifs au fond des océans, les "responsables" du nucléaire veulent désormais les enfouir sous terre, ce qui serait un véritable crime contre les générations actuelles et futures.

Rien n'a donc changé depuis le mensonge d'Etat à propos du nuage de Tchernobyl (catastrophe nucléaire du 26 avril 1986 en Ukraine). Le nucléaire "transparent" n'existe pas et n'existera jamais. Les citoyens doivent rejeter cette industrie, tant son volet "civil" que son volet militaire.

Lien permanent vers ce communiqué:
http://www.sortirdunucleaire.org/actualites/communiques/affiche.php?aff=523


 

 

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15 février 2009 7 15 /02 /février /2009 22:06

L'environnement des sites nucléaires, Centrales, enfouissements .... la surveillance de la radioactivité est réglementée

Contrôle par l'Autorité de Sûreté Nucléaire, extrait du dispositif mis en place :

"Un dispositif de surveillance est mis en place autour de chaque site nucléaire sur un rayon de plusieurs kilomètres. Il est adapté aux types d'activités du site et à ses caractéristiques locales. La surveillance s'effectue tout au long de l'année. Elle comprend un suivi de l'air par le biais de l'activité des aérosols atmosphériques et de l'exposition ambiante, des eaux de surface en amont et en aval des rejets liquides et des eaux souterraines au voisinage des sites. Un contrôle est également effectué sur la végétation, ainsi que sur des échantillons de la chaîne alimentaire tels que le lait, les fruits, les légumes, les principales productions agricoles..."

Tous ces contrôles sont effectifs mais quand une contamination a lieu, les populations restent dans l'ignorance ! C'est ce qui s'est produit au Tricastin ... L'incident ou l'accident a eu le temps de polluer la nappe phréatique et de ce fait la chaîne alimentaire !  On ne peut pas ignorer les travaux du Dr.PETKAU, spécialiste de l'énergie atomique au Canada qui a montré en 1972, qu'une très faible dose pendant une longue période rompait la membrane des cellules, autant qu'une dose plus élevée durant une exposition brève .

Ralph Graeub écrit: «Les plus faibles doses radiologiques peuvent, lorsqu'elles sont prolongées (c'est le cas à la suite des retombées atomiques et dans les émissions des centrales nucléaires), être de 100 à 1000 fois plus dangereuses qu'on ne pourrait l'attendre en se basant sur les expériences médicales, les études sur les victimes japonaises des bombes atomiques, et les très nombreuses expérimentations sur les animaux.»

Le SIDA pourrait être né d'une mutation génétique  dûe à l'action des rayonnements radioactifs ! C'est une hypothèse développée par Reichelt

L' effet Petkau expliquerait aussi la destruction de la membrane cellulaire des cellules de l'hémisphère gauche du cerveau, de manière 4 000 fois plus importante à faible dose qu'à haute dose.

Donc tous les contrôles et dispositifs de surveillance ne peuvent pas jouer leur rôle de protecteur puisque les rejets faiblements radioactifs des rejets liquides ou gazeux  des installations nucléaires sont dangereux pour la faune, la flore et l'être humain !

Les Autorités de surveillance de la Radioactivité ne veulent pas reconnaître les impacts nocifs de tous les rayonnements, les rejets liquides et gazeux des installations nucléaires .

Sur les humains :

Les maladies s'enchaînent et se multiplient . Les maladies de la thyroïde, les cancers, les leucémies, des maladies neurales que l'on diagnostique comme étant Alzheimer !

Sur les animaux:

Les poissons, le gibier, nos animaux de compagnie qui batifolent dans l'herbe et la forêt, les animaux domestiques qui mangent l'herbe contaminée et s'abreuvent d'eau chargée de radioactivité ...


Je sais qu'il existe une radioactivité naturelle qui peut déjà affecter notre santé ! Mais, ce n'est rien comparé à la radioactivité artificielle !

Ci- après, la radioactivité naturelle, extrait :
 de http://www.astrosurf.com/luxorion/radioactivite-mesure-protection-civile2.htm

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14 février 2009 6 14 /02 /février /2009 21:10


AREVA est une entreprise gigantesque, donnant de nombreux emplois . Nous avons besoin d'employeurs capables de donner du travail et nous ne pouvons que nous réjouir de tous les contrats qu'AREVA remporte....

Une rivière qui ondule entre les souches est un miroir de rêves ! Les sirènes qui hantent son lit se faufilent  et glissent sous les galets ! Le vent d'hiver ride sa surface ! Des vaguelettes courent vers l'horizon et des milliers d'ombres s'étirent vers le large ...Qui la penserait dangereuse ? Tant de beauté ne peut semer la mort !

Ci-dessous, une information nous rassurant de la bonne santé financière d'AREVA :


Enrichissement : AREVA remporte un contrat de plus de cinq milliards d'euros auprès d'EDF



03 février 2009

 

 
 
AREVA vient de signer avec EDF un contrat portant sur la fourniture de services d'enrichissement de l’uranium sur une longue période. D’un montant global de plus de cinq milliards d'euros, ce contrat représente pour AREVA le plus important jamais signé dans ce domaine d’activité.
 
Ce contrat garantit à EDF un approvisionnement sur le long terme en services d'enrichissement, sur la base de l'activité industrielle de la future usine d'enrichissement par centrifugation Georges Besse II. Implantée sur le site du Tricastin, cette usine est en cours de construction depuis septembre 2006. C’est l’un des investissements industriels français les plus importants de la décennie, de l’ordre de 3 milliards d'euros.
 
AREVA et EDF ont bâti, dès 1975 par la signature d’un premier contrat d’enrichissement, un partenariat stratégique dans ce domaine. Depuis 1979 et la première livraison d’uranium enrichi, AREVA fournit une part significative des besoins en enrichissement d'EDF.
 
"La confiance que nous accorde EDF témoigne de l'attractivité à long terme des services d'enrichissement proposés par AREVA. Ce contrat complète le carnet de commandes déjà très conséquent de la future usine Georges Besse II", a déclaré François-Xavier Rouxel, Directeur de la business unit Enrichissement d’AREVA. 




L
 AREVA mène une action très louable d'aménagement des anciennes mines d'uranium. La tâche est lourde car il y a un gros retard de décontamination à mettre en place. C'est ce que nous avons constaté dans l'émission : Pièces à conviction .La méthode de réhabilitation des terrains contaminés ne semble pas efficace ! Pourquoi continuer à déverser des bennes de déchets dans la nature ? Est-ce simplement une erreur qui a échappé à la direction d'AREVA ? L'équipe d'ouvriers chargée de ce nettoyage n'a-t-elle  pas été suffisamment préparée à ce travail ? C'est très handicapant ! Cette activité" responsable" est noircie par les mauvaises pratiques ! Nous, la population vivant près de tous les sites contaminés ou qui risquent de l'être après des enfouissements irresponsables, à cause de toutes ces exactions, nous avons beaucoup de mal à croire ce qui est écrit  dans cet article !

Recyclage

AREVA développe des activités louables, comme le recyclage c'est-à-dire, permettre une utilisation de l'uranium et du plutonium de ce qui reste après la production de nouveaux combustibles
.

"L'activité recyclage permet d'utiliser l'uranium et le plutonium issus de l'activité traitement pour la fabrication de nouveaux combustibles tels que le " MOX ", mélange d'oxydes d'uranium et de plutonium.
Pour cela, elle s'appuie principalement sur l'usine de MELOX, située à Marcoule dans le Gard.
L'établissement AREVA NC Cadarache a arrêté ses productions commerciales de MOX en juillet 2003 et procède actuellement au conditionnement des rebuts issus de ses précédentes fabrications, et à la préparation du démantèlement de ses installations."


A

Reaménagement et suivi environnemental des anciennes mines d'uranium en France

 

Réaménager les sites après leur exploitation

 

Site réaménagé en Vendée
© AREVA

 En fin d'exploitation, AREVA réaménage les sites miniers, les revégétalise et les garde sous surveillance radiologique et environnementale afin d'en observer et maîtriser l’évolution.


Le groupe contrôle également les mouvements de terrain et la résistance à l'érosion.
Les objectifs de cette surveillance consistent principalement à :
protéger la santé et la sécurité des populations à proximité des sites.
minimiser les impacts et risques environnementaux.





 Depuis l'origine des activités minières du groupe, AREVA a investi plus de 300 millions d'euros pour démanteler des installations et réaménager des sites miniers en France, au Gabon, aux Etats-Unis et au Canada à l'issue de leur exploitation. 
 
 En France, l'extraction du minerai d'uranium s'est achevée en 2001, suite à l'épuisement des gisements économiquement exploitables.
L’uranium extrait en France provient de 210 sites miniers répartis sur l’ensemble du territoire. Si moins de la moitié de ces sites ont été exploités par AREVA et ses filiales, le groupe fait œuvre de service public en assurant  le réaménagement et la surveillance de l’ensemble des sites, conformément à son engagement auprès de l’Etat français.

 

 

 




 

Une activité responsable

 Le réaménagement minier est une activité industrielle à part entière, menée sur des bases scientifiques et techniques solides. 
Dans la concertation et le respect de la réglementation, le réaménagement des sites  vise à :
assurer la sécurité et la salubrité publiques ;
minimiser l’impact résiduel des anciennes activités ;
limiter la consommation d’espace par les anciens sites ;
 assurer leur intégration paysagère ; ...

Sur ces quatre points cités ci-dessus il n'y a que le quatrième qui ait été réalisé ! De jolis paysages de verdure semés de bouquets d'arbres, de pièces d'eau, de terrains de jeux .... illuminent notre regard ! Cet océan de verdure est apaisant ! La douceur de vivre berce notre existence ! On a oublié la qualité de l'environnement ! L'uranium, le plutonium, le radon .....continuent insidieusement à semer une  désolation invisible qui, malheureusement portera ses fruits : leucémies, cancers du poumon, cancers du larynx....

 Cette activité est menée en totale transparence. Elle est  supervisée par les DRIRE, l’ASN et la DASS.  Des structures de concertation et d’étude (CLIS, Groupes d’Etudes Pluralistes) ont par ailleurs été créées pour répondre aux attentes et interrogations des différentes parties-prenantes. 
 
 Le réaménagement de sites miniers demande un réel savoir-faire, ce qui justifie l’intervention d’un opérateur unique. Grâce à ses compétences reconnues dans l’uranium naturel et ses engagements en matière de responsabilité sociale, AREVA se voit confier cette mission par l’Etat, y compris pour les sites dont il n’a pas été l’exploitant. 


Avec un budget réaménagement de 4 à 5 millions d’euros par an, AREVA mobilise en permanence 100 spécialistes (santé, radioprotection, géologie, environnement) qui travaillent sur le sujet, et réalise près de 10 000 analyses chaque année.


Définition du stérile minier
: terres, sables ou roches ne contenant pas de minerai d’uranium exploitable ou ne contenant pas d’uranium du tout, mais qu’il faut extraire pour pouvoir accéder au minerai lui-même. Ces substances ne sont pas ou très faiblement radioactives. 




 Jusqu’en 1984, une partie de ces roches a été utilisée dans le domaine public dans le but, par exemple, de réaliser des remblais de chemins, des parkings, des sous-bassements, ronds-points, etc..

 En 1984,  le groupe a demandé au SCPRI (Service Central de Protection contre les Rayonnements Ionisants, aujourd’hui l’IRSN) d’émettre des normes d’usage de ces stériles. Ceci pour maîtriser l’usage souhaité par les destinataires et contrôler la radioactivité de ces matières.
Des restrictions d’utilisation ont ainsi été décidées, notamment dans la construction d’habitations, de bâtiments publics, etc.

C’est à partir de cette date et à son initiative qu’AREVA a publié un rapport annuel permettant une traçabilité et un contrôle rigoureux de gestion de ces stériles.


Stériles miniers et radioactivité

 

Le sujet des remblais (stériles miniers) est ancien, connu, public, traité (étude pluraliste) et sans impact sanitaire. 

 Personne ne peut aujourd’hui évaluer la quantité de stériles miniers (remblais) donnés par les anciens mineurs aux collectivités et aux particuliers.
Les remblais sont  par essence stériles ; déduire, à partir de quelques points chauds observés, que la masse totale des stériles présente un niveau de radioactivité supérieur à la radioactivité naturelle ne fait pas sens.

Preuve en est, par exemple, la campagne de détection aérienne menée par le CEA a montré que les chemins du Forez, dont certains ont été empierrés, avec ces stériles ne sont pas radioactifs. Seuls deux points anormaux ont été relevés : le Moulin Poyet et  le parvis de la scierie Mondière.
Dès l’information connue, AREVA y a immédiatement remédié. *

Malheureusement, tous les points noirs  ne sont pas effacés ....


De même, sur les 4 400 exemplaires d’un questionnaire de recensement d’utilisation des stériles adressés par le préfet aux habitants de la région de St Priest la Prugne, 55 réponses ont été retournées et tous les sites d’utilisation de stériles concernés par le retour des questionnaires (environ 80 sites) ont été investigués.
 Les autorités ont fixé le seuil d’exposition à  0,5 mSv (soit la moitié de la norme légale) et 8 sites ont été retenus pour intervention.
AREVA doit encore intervenir sur 1 site.




 

 

Les stériles contiennent peu d'uranium ou pas mais, ils ne sont pas inoffensifs ! L'exposition continue à des faibles doses laisse des traces... Des scientifiques ont même affirmé qu'une exposition continue à de faibles doses est aussi dangereuse qu'une forte exposition en temps limité ! Les dégâts provoqués par les faibbles doses mettent plus de temps à se déclarer, mais ils sont réels ! Donc, posséder une jolie maison  dans un théâtre de verdure aménagé par AREVA, à proximité d'une ancienne mine d'uranium ou une usine travaillant sur ce minerai peut être très dangereux  ! 

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13 février 2009 5 13 /02 /février /2009 22:04

Centrale nucléaire de Cattenom ( Moselle )

 

 

Cette vapeur d'eau qui envahit le ciel de ses volutes blanchâtres, est-ce une amie ou une ennemie ?


J'ai entendu dire que les potagers des riverains donnent des récoltes "fantastiques " ! Des tomates géantes ... D'énormes pommes de terre .... De grandes feuilles de laitues .... sans ajouts d'engrais !

 

A quelques jardiniers curieux, on a répondu : " C'est la chaleur de la vapeur d'eau qui réchauffe l'atmosphère et le sol.....

 

C'est tout de même étrange ! Quand on sait qu'autour de TCHERNOBYL, la végétation développe des plantes  à feuilles géantes .....

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13 février 2009 5 13 /02 /février /2009 19:17

Quel héritage voulons-nous laisser à nos enfants ?


Après ce que nous avons vu dans : Pièces à conviction

Les enfouissements de déchets radioactifs ne doivent pas se faire dans les conditions actuellement proposées. Sur les 3115 communes sollicitées, combien de municipalités sont conscientes des risques importants de fuites de radionucléides et leurs conséquences ?

Nous savons qu’une exposition continue, à faible dose, est dangereuse ! Nous ne sentons rien, aucune douleur jusqu’au jour où nous ressentons une fatigue ! Là, le verdict tombe : « vous avez un cancer… »

Il a fallu 5 ans, 10 ans, 20 ans, 30 ans…. Pour que le mal se déclare, suivant les personnes Après, il faut vivre avec la maladie, les nombreux protocoles de chimiothérapies, plus on moins tolérés … une rémission de quelques années …., une rechute, puis la mort …et des souffrances …

Est-ce vraiment ce que nous voulons pour nos enfants et toutes les générations à venir ? Des êtres humains avec un cœur et une conscience peuvent-ils laisser cet héritage de souffrance aux enfants de la Terre ? 

 

Après avoir vu les décharges anciennes, recouvertes de verdure et de bouquets d’arbres où le compteur crépite et indique des taux de radioactivité importants, la prudence va-t-elle enfin se faire entendre ? Ou sera-t-elle entendue ?

Toutes ces décharges prévues seront-elles à 92 mètres ou à 120 mètres ? 

Et au-dessus de ces  « tombes » quelle épaisseur ? 30 mètres de marne avec des couches de calcaire intercalées ! J’ai lu, sur un compte-rendu d’une Commission Nationale d’Evaluation, que ce mort vivant qu’est la radioactivité serait sous 90 mètres de terre ! Est-ce suffisant  pour un stockage efficace ? Je ne pense pas, car ce stockage ressemble beaucoup aux stockages qui ont été faits dans l’IDAHO, aux USA  et qu’ en se référant à ces stockages désastreux, la Commission Nationale d’Evaluation a souligné que ces stockages avaient été  « mal faits » puisque c’étaient souvent des déchets liquides !

 

Qu’a –t-on fait des boues radioactives ? Ne font-elles pas partie des liquides ?

Or, que fait-on de ces boues ? Une partie a servi à remblayer des galeries de mines, mais la majorité est restée en surface. Elles ont été déversées soit dans un "bassin" aménagé dans une vallée et fermé par une digue faite de stériles comme à Saint-Priest-la-Prugne, et à Lavaugrasse, soit tout simplement dans une ancienne mine à ciel ouvert. C'est le cas le plus fréquent.

 

Des déchets liquides, des boues ! Après le nettoyage d’un site, un cycliste, croisé par l’équipe de Pièce à conviction,  a vu des bennes d’AREVA déverser des boues dans la nature, sans précautions spéciales ! L’équipe a bien constaté ces nouvelles exactions ! Sachons que les ouvriers employés à cette activité de fossoyeurs sont très exposés ! L’irradiation silencieuse et indolore, accomplit son œuvre ….. 

Nous avons vu un ancien mineur de mine d’uranium qui souffrait d’un cancer du larynx, il s’estimait heureux d’être encore vivant ! Beaucoup de ses amis et collègues de travail étant décédés relativement jeunes, entre 40 et 47 ans …. Devant cette évidence, on ose nous dire qu’il n’y a aucun danger … Ces irresponsables ne peuvent-ils pas être classés dans la catégorie des assassins ?

 

Quand on nous dit que les Américains n’ont pas bien fait leurs enfouissements, cela est étonnant ! Nous savons qu’il y a eu « des modélisations », cette recherche a été très importante sur plusieurs années, alors qu’ à Bure, « les modélisations » dont on nous parle se sont faites en six mois !

Dans l’IDAHO, les « modélisations » ont mis à jour des retours dans la biosphère avec migration de radioéléments dans 80 000 ans et surprise ! Quelques 30 ans après, les radionucléides reviennent à la surface ! Comment pouvons-nous croire l’ANDRA qui nous dit : « Ne vous inquiétez pas !  Il n'y a aucun danger !»


BURE et toutes les poubelles radioactives que l’on veut absolument semer d ‘EST en OUEST, du NORD au SUD sont dangereuses pour nos enfants , petits-enfants et toutes les générations à venir ! Il semble et cela est une réalité, que l’uranium et tous ses cousins sont incontrôlables, ils filent entre les doigts de nos chercheurs comme des serpents au venin insaisissable et mortel !

 

 Au bout de quarante ans, sous la pression des associations de défense de l'environnement, une commission locale d'information a été mise en place à Bessines. Ces associations réclament, entre autres, la remise en état des sites miniers abandonnés et notamment le recouvrement des dépôts de résidus. Aux Etats-Unis, où l'on n'hésite pas parfois à prendre des mesures extrêmes, on a carrément déplacé tous les résidus de quatre sites à Salt Lake City (Utah), Durango et Grand Junction (Colorado) et Canonsburg (Pennsylvanie) : ces déchets ont réintégré leur dépôt d'origine à Canonsburg, après que l'on eût réalisé un étanchement de bonne qualité.

Finalement, les Américains ont choisi de réintégrer tous  les résidus qu’ils avaient semés sur quatre sites, sur  leur lieu d’origine !

En France, pourquoi vouloir continuer à semer cette radioactivité sur tout le territoire et sur toute l’Europe ? Ne peut-on pas, une fois pour toute, les laisser sur les sites déjà contaminés ?

Une question se pose sans cesse :

 Existe-t-il une recherche sérieuse pour mettre au point des procédés efficaces permettant de rendre les déchets radioactifs inoffensifs ?

Ayant posé la question au Ministère de l’Ecologie et de l’Energie, nous attendons toujours la réponse !

Ci-après, copie des courriers :


 Après avoir développer les dangers de l'énergie produite par les Centrales nucléaires, je pense qu'il faut proposer autre chose !  Il nous faut une énergie ou, plus exactement ,des énergies propres .J'ai commencé à me documenter sur l'énergie solaire en consultant des revues scientifiques et des sites traitant des énergies renouvelables !  sur le blog :

 

 http://mthandreorange.over-blog.fr

J'ai commencé à rassembler des éléments, provenant de sources différentes , pour mettre en évidence que l'on devrait dépenser notre argent et notre temps à développer  des énergies propres !

Amicalement                          

                                                      Mth A

From: Hartock Daniel

To: mthandre@orange.fr

Sent: Thursday, February 05, 2009 4:56 PM

Subject: RE: Pourquoi intensifier le développement de l'énergie nucléaire ?

 

je suis informé de toutes ces nouvelles technologies

qui êtes vous?


De :
mthandre@orange.fr [mailto:mthandre@orange.fr]
Envoyé : vendredi 6 février 2009 19:42
À : Hartock Daniel
Objet : Re: Pourquoi intensifier le développement de l'énergie nucléaire ?

Bien sûr, Je suis persuadée que vous êtes informé de toutes ces nouvelles technologies mais j'éprouve une grande crainte : c'est que ces nouvelles technologies semblent être mises de côté au profit de l'énergie nucléaire dont, apparemment, on est incapable de gérer correctement tous les déchets produits par cette énergie ! Existe-t-il des recherches efficaces susceptibles de mettre au point des procédés capables de rendre tous les déchets radioactifs inoffensifs ? Si oui, veuillez s'il vous plaît me renseigner. Merci

 

De :     daniel.hartock@developpement-durable.gouv.fr

 

Serait-il possible de ne plus envoyer de message svp merci

 

Monsieur,

Je me permets ce courriel pour vous poser une question:

Existe-t-il des recherches efficaces qui travaillent à mettre au point des procédés susceptibles de rendre les déchets radioactifs inoffensifs ?

En vous remerciant de votre réponse, je vous prie d'agréer Monsieur, l'expression de mes meilleurs sentiments.

 

                                                         Mth A

J’attends une réponse de Monsieur Thomas BRANCHE  depuis le 8 février 2009


de  thomas.branche@industrie.gouv.fr 

 

 

 

 

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12 février 2009 4 12 /02 /février /2009 17:09

Après, Pièces à conviction : La France contaminée par la radioactivité.......

Ce désastre est une réalité ! Même si le porte-parole d'AREVA s'est permis de reprendre Elise LUCET en affirmant : non, vous n'avez pas rencontré de désastre !

Après cette émission et les réponses désinvoltes données aux questions intéressantes qui auraient pu nous convaincre que, désormais, les décideurs allaient entreprendre des travaux sérieux de décontamination et de protection ,  on ne peut que déplorer l'inconscience qui gère les déchets radioactifs et continuer à craindre le pire ! Le mal insidieux, silencieux et mortel de l'irradiation continuera à  menacer nos enfants, petits-enfants et toutes les générations futures ...

 Monsieur Borloo n'a pas su me convaincre et vous ?
 
Quant à Monsieur Lacoste, il dit : " Oui, tous ces déchets sont dangereux ... mais il n'y a pas de danger pour la population .." Que faut-il comprendre ?

Revenons à BURE :

Après lecture de différents rapports, il semblerait que la qualité des recherches a été délaissée au profit du repect du calendrier ! La loi avait prévu au moins deux laboratoires ! Dans la hâte d'en finir, l'ANDRA a affirmé ne plus avoir besoin d'un laboratoire en roche granitique, les expériences menées en Belgique, Suisse ... étaient suffisantes...

La Commission Nationale d'Evaluation des risques nucléaires ( CNE ) reste silencieuse au sujet " du verre nucléaire " qui a un taux d'altération qui doit relâcher tous ses éléments dans 100 000 ans ! Mais un rapport du professeur POUCHAN parle d'une surpression dans le Callovo Oxfordien par rapport aux couches qui l'entourent . L'altération peut alors se faire plus rapidement et Il y aura une circulation d'eau  qui transportera les éléments relâchés ! Que se passera-t-il quand il y aura diffusion des éléments relâchés ?

De plus, le rapport de la CNE et le dossier 2001 Argile de l'ANDRA admettent qu'il y aura fuite des radionucléides ! Personne n'est capable de nous dire quand ! On est sûr qu'aux USA, à l'Idaho, après seulement trente ans de stockage, du plutonium a été retrouvé dans les aquifères ....

Il " paraît" que le stockage de l'IDAHO était à faible profondeur, que les déchets n'étaient pas conditionnés et que le milieu de cet entreposage était oxydant ! Conclusion de la CNE : Il n'est donc pas surprenant qu'il y ait eu migration du plutonium !

Cependant, il semble que la teneur en pyrite des argilites du Callavo Oxfordien est de l'ordre de 7% . L'oxydation de cette pyrite peut alors conduire à l'acidification des eaux en contact avec les bétons qui seront rapidement détériorés !

La CNE affirme que la teneur  en pyrite des argilites n'est que de 1% , que le phénomène d'oxydation est pris en compte et qu'il n'entraînera pas la ruine des ouvrages pendant l'exploitation !

Que faut-il comprendre ?

La CNE nous affirme qu'il y a eu des " modélisations " pour BURE et que tout est clair ! N'ayant pas de compétences scientifiques, nous devons faire confiance !

c'est très difficile de faire confiance aux décideurs, aux élus et aux experts scientifiques travaillant pour l'ANDRA, AREVA.... après tout ce que nous savons sur la gestion actuelle des déchets radioactifs !

Nous ne pouvons pas laisser BURE et les alentours devenir une poubelle nucléaire ! Non,nous n'acceptons pas l'enfouissement des déchets radioactifs dans les conditions actuellement proposées !

On ne sait que trop que ( COGEMA devenue AREVA, ANDRA...) savent merveilleusement dissimuler les déchets les plus dangereux de la planète en transformant les cimetières radioactifs en parkings, stades, parcours de santé, routes, autoroutes, lacs, espaces de verdure .....

Aux yeux du monde, quand on lit ce qui suit :
"
Avec une présence industrielle dans 43 pays et un réseau commercial couvrant plus de 100 pays, AREVA propose à ses clients des solutions technologiques pour produire de l'énergie sans CO2 et acheminer l'électricité en toute fiabilité. Leader mondial de l'énergie nucléaire, le groupe est le seul acteur présent dans l'ensemble des activités industrielles du secteur. Ses 75 000 collaborateurs s'engagent quotidiennement dans une démarche de progrès continu, mettant ainsi le développement durable au cœur de la stratégie industrielle du groupe. Les activités d'AREVA contribuent à répondre aux grands enjeux du XXIe siècle : accès à l'énergie pour le plus grand nombre, préservation de la planète, responsabilité vis-à-vis des générations futures. www.areva.com  ...."

AREVA passe pour être un modèle ! C'est la société qui préserve la planète et oeuvre pour protéger les générations futures !
Après avoir suivi : Pièces à conviction " et revu toutes les photos des lieux hautement pollués et dangereux , comment peut-on avoir confiance en AREVA, ANDRA....

 L'émission d'Elise LUCET était impartiale et fort bien documentée. Avec calme et réalisme, elle a posé les bonnes questions aux décideurs présents. Mais, ces hommes, que ce soit le porte-parole d'AREVA, Le Directeur général de l'Autorité de Sûreté nucléaire ou Monsieur Le Ministre de L'écologie et de l'énergie, ont répondu avec désinvolture ! Ce manque de sérieux est désolant ! Envoyons nos protestations à
MASTER@ecologie.gouv.fr

Non, Monsieur Le Ministre, votre réponse qui se voulait plaisante n'était pas appropriée à la situation de désastre, mise en évidence dans l'émission : Pièces à conviction !
Vous êtes un homme conscient de tous les dangers de l'irradiation et vous ne pouvez pas approuver l'arrogance et la désinvolture du porte-parole d'AREVA et les réponses contradictoires de Monsieur Lacoste ! Monsieur Le Ministre, veuillez s'il vous plaît mettre tout en oeuvre pour décontaminer , protéger les populations et suspendre tous les travaux de l'ANDRA, menant à l'enfouissement des déchets radioactifs dans les conditions actuellement proposées  !


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11 février 2009 3 11 /02 /février /2009 15:02

Au cours de l'enquête menée par Elise LUCET pour le Magazine : Pièces à conviction, Monsieur BORLOO, Ministre de l'écologie et de l'énergie, a été très impressionné par la radioactivité enregistré sur le  parking d'une grande surface de Gueugnon !

Gueugnon (Saône-et-Loire): sur le terrain d'une ancienne usine de traitement, grand bassin de 6 ha renfermant 185 000 t de résidus contenant 42 t d'uranium. L'activité totale dépasse 20,8 TBq, dont 10,4 TBq en radium 226.

Aujourd'hui, 11 février 2009, aux informations de 13 h sur FR3, on nous a expliqué comment on démantelait une centrale nucléaire, sans danger ! Les ouvriers effectuant cette tâche seront protégés physiquement et le tout sera transporté dans des bennes qui déverseront leur contenu dans des lieux d'enfouissement !

 Ce démantèlement produira alors, trois sources de contamination :

1°- Le lieu de la Centrale démantelée

2°- Le parcours emprunté pour acheminer les déchets

3°- Le point d'enfouissement

Est-ce vraiment utile de semer cette radioactivité sur tout le territoire français ?
Est-ce obligatoire de faire profiter toute la population de la radioactivité ?

Monsieur Borloo, qui semblait ne pas connaître les conclusions du rapport Desgraupes de 1991, va pouvoir enfin prendre de nouvelles dispositions pour la gestion des déchets radioactifs .

La protection de l'environnement deviendra-t-elle une réalité ?

Le développement des énergies renouvelables et sans danger pour notre santé et notre  vie  tendra-t-il à dépasser celui de l'énergie nucléaire ?

Des recherches efficaces, mettant au point des procédés utilisables pour rendre les déchets radioactifs inoffensifs, seront-elles entreprises ?

Ce que nous devons savoir : 

Actuellement, les Laboratoires dits de recherches comme BURE, ne sont que des lieux où on ne travaille que sur un seul objectif , trouver le meilleur moyen d'enfouir les déchets radioactifs, sans les décontaminer . 
On compte sur le temps, des centaines, des milliers, des millions d'années pour que ces déchets perdent de leur activité ! 

La contamination des sous-sols, sols, des nappes phréatiques, de la flore, la faune.... ne semble pas être une priorité ... 

Nous espérons qu'après l'émission : Pièces à conviction, d'autres objectifs deviendront prioritaires !
 

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