Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
16 avril 2019 2 16 /04 /avril /2019 22:08

Si tu as des difficultés avec les mots, écris les puis, demande à quelqu'un de te les dicter.

un œuf, un bœuf, le cœur, la sœur

le coq, la poule, le poulet, le poulailler.

une cane, un canard, un caneton

une oie, le jars, les oisons

le copain, la copine

du chocolat, la chocolaterie

gourmand, gourmand, la gourmandise

 

Partager cet article
Repost0
1 février 2018 4 01 /02 /février /2018 15:18

Les souvenirs de guerre de mon père, rédigés sur de petits cahiers d'écolier, rayonnent de courage, de souffrance et d'espérance.

Les greniers sont souvent les détenteurs de souvenirs dont certains sont
tombés dans l'oubli. Des malles bien rangées sous des étagères
m'intriguèrent, ma curiosité ne put y résister. L'émotion s'empara de
moi quand je découvris des cahiers d'écoliers couverts de dessins et de
l'écriture fine, aux lettres bien reliées l'une à l'autre de mon père.
Le contenu de tous ces fascicules, me plongea dans une période difficile
de la vie de mon père, la mobilisation en 1939, la guerre en 1940, sa
blessure et la descente dans l'enfer de la souffrance puis, sa lutte pour
vivre et guérir . J'ai choisi de centrer mon récit sur l'époque
tourmentée qui transforma sa vie. Au fond du coffre, il reste encore
quelques fascicules remplis d'espoir et jalonnés d'obstacles qu'il a dû
surmonter jusqu'à la  fin de sa vie...

Ce recueil de souvenirs est publié dans un roman historique sous le titre : " Un combat, une vie..." Le lien suivant vous permettra d'en lire un extrait :

https://www.edilivre.com/un-combat-une-vie-marie-andre-fassotte.html

 

Partager cet article
Repost0
24 décembre 2017 7 24 /12 /décembre /2017 16:26

Joyeux Noël !

Cher lecteur, par ce temps trop gris et sans lumière, mon esprit vagabonde. Short édition m'a sollicité, ainsi que d'autres, pour écrire un texte basé sur l'imaginaire et j'ai envoyé ma composition fantaisiste écrit dans la nuit et maintenant, je quémande des votes. En allant sur ce site :

http://short-edition.com/fr/oeuvre/tres-tres-court/vie-parallele

Cher lecteur, tu pourras lire mon œuvre un peu folle : "Vie Parallèle" publiée sous mon pseudo Mariethe

Que tous les ordis que tu connais me donnent une voix ! ! !Sois gentil ! même si ce n'est pas tout à fait de ton goût ! Ce n'est pas pour le gain, on ne concourt que pour s'amuser avec quelques bons d'achats de bouquins  !

Joyeuses Fêtes de Noël !

Partager cet article
Repost0
21 décembre 2017 4 21 /12 /décembre /2017 22:40

                             Vie parallèle     

 

  • Marie ! Sors de tes rêves et viens m’aider !
  • Tante Sophie, je ne rêve pas, je lis !
  • Ton père va arriver, tu as intérêt à obéir !
  • Oui, j’arrive ! je cours ! je vole ! je suis à toi ! dans une minute !
  • Pour détourner l’attention en te faisant mousser, tu t’y connais !
  • C’est ma spécialité ! Au lieu de gémir et de perdre du temps dismoi ce que je dois faire !
  • Mets le couvert et range les journaux !

-    Je m’y mets ! C’est fait, tante Sophie ! Tout est en ordre, la table est prête et j’ai même eu le temps de cueillir un joli bouquet de lys qui illumine l’entrée d’un rayon parfumé !

Eberluée, les yeux ronds, elle n’en revient pas et s’écrie :

  •  Astu des fusées dans le corps pour travailler aussi vite ?
  • Je suis Marie, la fille du vent ! Personne ne veut me croire, mais je suis deux personnes en une !

La voix tonitruante de mon père court sur le perron :

  • La fille à deux têtes, une fofolle et une posée sur ses épaules, estelle assez forte pour porter les bagages de sa grand-mère à l’étage ?
  • Oui Papa !

J’ai tout de suite obtempéré, on ne discute pas les ordres de mon père. Le repas terminé et  la table débarrassée, je file vers la forêt. Allongée sur un grand tronc de hêtre, mon regard court avec les nuages, ils ressemblent à une nuée de petits voiliers perdus au milieu d’un océan inaccessible, mon esprit s’envole et rejoint le monde brumeux de l’impossible. Au centre de l’univers, je vogue sur une mer tourmentée, l’angoisse monte en moi. Que m’arrive-t-il ? Moi, toujours si sûre, ai-je des faiblesses ?  Un bruissement siffle à mes oreilles :

  • Marie, ne crains rien, laissetoi porter et tu voleras !

Quelle est cette voix si rassurante qui me propose une folie ? Je n’ose pas ouvrir les yeux.  Je me sens si légère que je tente un regard et là, un brouillard épais s’offre à moi. On traverse la brume, on franchit des collines ouatées et humides pour enfin plonger dans un flot de lumière. Je n’ai qu’à penser très fort et mes désirs  se  réalisent immédiatement. Tout mon être se déplace comme une fusée, les accélérations me collent au fond d’un siège douillet. Mes yeux se remplissent d’images inconnues et surprenantes. Un ours blanc comme neige implore les étoiles, un géant, chaussé de bottes de sept lieues, sème des guirlandes de perles de rosée, une souris rose grignote une poignée de grêlons oubliés par le vent d’autan ! J’essaie de me secouer pour sortir de cette vie parallèle mais je reste paralysée, inerte, clouée dans mon siège. Je lutte pour lever une main et toucher mon visage mais je reste figée.  Si je ne peux plus me comporter comme une personne humaine, mon cerveau embué commande : «  je veux courir vers la lune ! Je veux alunir ! » A peine ces désirs exprimés que tout s’embrouille dans mon esprit, mon cœur s’emballe, la vitesse du vaisseau explose, à demi inconsciente, je crie de toutes mes forces : « Quand vais-je alunir ? Réponds-moi ! » Je hurle à plein poumons et je n’entends aucun son, je suis plongée dans un manteau de silence, comme abandonnée dans l’univers, loin de tante Sophie et de toutes ses réprimandes !  Ballottée comme un sac de plumes, mes pensées s’envolent et se diluent dans l’espace comme si mon cerveau s’était liquéfié. « Non ! Ce n’est pas possible, mon cerveau est toujours là, bien abrité dans mon crâne ! » Un ronronnement  m’envoûte et chantonne doucement :

  • Marie regarde ! la lune ! la lune !
  • Enfin, tu as retrouvé ta langue, vaisseau magique !
  • Ouvre tes yeux, remplisles du spectacle du monde ! ce n’est pas tous les jours qu’on survole l’astre des nuits !

J’entends cette voix nasillarde et envoûtante, je rassemble mes forces mentales et sous mon regard médusé défile un paysage de roche et de poussière sèche.

Incroyable ! Je nage dans un univers mystérieux  dont le souffle léger me happe et me fait faire des bonds de géants. Je plane avant de me poser au bord d’un énorme cratère,  dressé au milieu d’un désert de rocaille. Mon pied bute et je roule vers un hérissement de roches,  une forêt d’arbres en pierre ! Un nuage blanchâtre inonde la vallée, ce n’est pas la brume qui monte au dessus d’un cours d’eau, c’est une tempête de sable et de poussière ! La voix de mon vaisseau me crie :

  • Marie, couchetoi derrière un rocher, attends, ce n’est qu’une brise de poussière !
  • Eh oui ! Tu appelles ça une brise ! Ne t’en fais pas pour moi, j’ai trouvé une grotte au pied du volcan !
  • Sois prudente !
  • Je ne risque rien, il n’y a pas de monstres cachés puisqu’il n’y a pas de vie sur la lune !
  • Les terriens en sontils si sûrs ?

L’atmosphère du lieu m’excite, la voûte étincelle de mille feux, la lumière terrestre rase le sol et répand une lueur éblouissante. J’examine les parois trouées comme des éponges mais j’hésite avant de m’aventurer vers les ténèbres du fond. Mon vaisseau appelle :

  • Marie, reviens, c’est le moment de partir !

Je ne réponds pas, je marche vers l’obscurité comme attirée irrésistiblement par un aimant ! Un murmure m’appelle et prend possession de mon esprit et de ma volonté. Je glisse lentement le long d’un rayon lumineux d’où jaillissent des êtres blanchâtres, des ectoplasmes impalpables se tortillent, je ne peux pas faire un pas sans faire jaillir un mur de brume, c’est oppressant, je me sens prisonnière de voiles translucides ! La voix ensorcelante me retient dans son antre et murmure : « Assieds-toi et écoute ! » Ce chuchotement résonne à mes pieds comme une douce musique, une longue anguille se tord sous la surface du sol, je ne devine que sa forme !  « C’est le moment de parler à ce fantôme »

  • Tu es donc un serpent ! Estu seul dans ce drôle de monde ?
  •  Curieuse ! Si je te raconte tous les secrets de ma planète, je serai obligé de t’empêcher de repartir !
  • Pourquoi ?
  • Tu t’empresserais de raconter ton aventure à tes semblables et on verrait des colonnes d’humains envahir notre désert ! Ils arriveraient avec des engins effrayants, crachant la mort ! Puis, ils bâtiraient des blockhaus de béton, très laids, ils feraient des galeries souterraines et des forages pour voler nos richesses ! Imagine le bruit infernal qui s’installerait sur ma planète !
  •  Pourquoi t’estu montré à moi ?
  • Parce que tu es une gentille rêveuse ! Tu n’es pas vraiment humaine, les autres terriens ne se dédoublent pas ! Regarde, ton écorce humaine apprend ses leçons dans ta chambre et ta silhouette vaporeuse se faufile dans l’espace, libre et légère comme le souffle de l’air !  

-  Serpent de lune, je serai muette comme une carpe, tu peux me rendre ma liberté ! Mon regard se perd dans la brume et mon esprit vagabond a déjà tout oublié ! Ecoute, mon vaisseau hurle à tue-tête :

  • Marie, reviens ! Le soleil commence à descendre sur l’horizon terrestre ! Mon navire sera incontrôlable et on se perdrait dans l’infini !
  •  File avant que je change d’avis !

Les voiles mouvants tombent, je respire profondément, d’un saut, je rejoins la nacelle confortable de mon véhicule immatériel qui plonge dans les nuée blanchâtres de la terre ! Tante Sophie m’appelle, il était temps :

  • Marie, le souper est servi ! Astu terminé tes devoirs ?

Une grande lassitude étreint mon corps,  je m’étire,  baille et tante Sophie répète :

  • Astu appris tes leçons ? Apporte ton cahier et ton livre, je vais te questionner !

Je marche comme un automate,  je suis surprise de m’entendre réciter ma poésie et mes conjugaisons.

  • Très, très bien ma grande, tu m’étonneras toujours !  On a l’impression que tu t’amuses à longueur de journée !
  • C’est la vérité tante Sophie ! J’ai appris mes leçons en voyageant dans l’espace,  j’ai même marché sur la lune ! J’ai rapporté une fleur de roche !
  • Taistoi donc, ce n’est qu’une étoile ramassée sur la colline de Sion, au pied du monument de Maurice Barrès.  
  •  Ce sable dans mes poches et mes cheveux humides, qu’estce que c’est ?

 Elle hausse les épaules, pauvre tante Sophie, elle ne pourra jamais comprendre que je suis une drôle de gamine qui parle avec les fantômes.

  

   

Partager cet article
Repost0
25 avril 2017 2 25 /04 /avril /2017 18:49

La principauté épiscopale de Liège était un État du Saint-Empire romain, compris dans le cercle de Westphalie, ayant pour capitale la ville de Liège.

C'est en l'an 985 que naquit la principauté épiscopale. Notger, déjà évêque de Liège depuis 972, devint prince-évêque en recevant le Comté de Huy. Cet État  exisa pendant plus de 800 ans, jusqu'à la Révolution liégeoise en 1789.

Liège devint au Xe siècle la capitale d'une puissante principauté épiscopale, grâce à l'action des évêques Éracle, Notger et Wazon. Ses écoles furent célèbres jusqu'au XIIe siècle.

Sept collégiales s'élèvaient alors dans la ville :

Saint-Pierre, Sainte-Croix, Saint-Paul, Saint-Jean, Saint-Denis, Saint-Martin, Saint-Barthélemy, en plus de la cathédrale où est enterré Saint Lambert.

Deux abbayes bénédictines s'y ajoutaient :

Saint-Jacques et Saint-Laurent.

Plusieurs églises romanes et de nombreuses pièces d'orfèvrerie (art mosan) témoignent encore aujourd'hui de l'efflorescence de cette époque, en particulier les fonts baptismaux de la ville, conservés aujourd'hui à Saint-Barthélemy.

Entre 1297 et 1335, la chevalerie hesbignonne fut décimée par la guerre des Awans et des Waroux

Liège tentera également de résister à l'œuvre unificatrice des ducs de Bourgogne, mais échouera face à Charles le Téméraire le 30 octobre 1468 (échec des 600 Franchimontois). La Cité retrouvera tous ses privilèges en 1477, à la mort de Charles le Téméraire

Le 10 avril 1509, Érard de La Marck, l'un des plus remarquables prince-évêques de Liège, reçut les droits régaliens de l'empereur Maximilien Ier, qui confirmait les privilèges de la principauté octroyés par ses prédécesseurs. Il  a construit la cour actuelle du Palais des Princes-Évêques de Liège.

 

Partager cet article
Repost0
18 avril 2017 2 18 /04 /avril /2017 18:29
Les Pays-Bas bourguignons (1384-1482)

À l'issue de la guerre de Cent Ans, les territoires , à l'exception de la principauté de Liège et les Pays-Bas actuels (dont les limites remontent au XIXe siècle) étaient  aux mains des ducs de Bourgogne, vassaux des rois de France.

Sous ceux-ci, Philippe le Bon puis son fils Charles le Téméraire, le pays connut une expansion économique dont profitèrent les villes et, notamment, Bruxelles qui accueillait le pouvoir dans le palais des anciens ducs de Brabant.

Sur les cartes de l'époque, l'ensemble des grands Pays-Bas depuis les îles de la Frise jusqu'à la Picardie, comprenant les futurs Pays-Bas des XIXe et XXe siècles et la Belgique moderne, présentaient une forme générale évoquant un lion dressé dont le dessin était mis en valeur pour justifier l'appellation que lui confèrait l'ambition des Bourguignons Leo Belgicus.

Mais la politique ambitieuse de Charles le Téméraire qui voulait relier ses possessions de Bourgogne à celle des Pays-Bas entraîna un conflit avec la France de Louis XI.

À la mort du Téméraire au combat, en 1477,( à Nancy ) les Pays-Bas bourguignons échurent aux Habsbourg.

 

Partager cet article
Repost0
17 avril 2017 1 17 /04 /avril /2017 16:41

La principauté de Liège ( suite )

 

Cette bataille de Dommartin près de Huy. resta vivace dans les esprits au fil des siècles. Une pasquille wallonne la célèbrait encore au XVIIIe siècle.

Suivant la suggestion du Prince-Évêque, ils  mirent  en place une assemblée pour jouer le rôle de tribunal, composé de six sages de chacune des parties.Les négociations furent âpres.

Le traité de paix fut rédigé et la paix fut signée le 15 mai 1335 dans l'abbaye de Saint-Laurent, à Liège.

Un mariage cimenta la réconciliation :

Le fils de Thiry de Haneffe épousa la fille de Wathy de Warfusée le meurtrier de son père.

C'était la fin naturelle d'une guerre privée et le moyen classique de ramener la paix dans les familles.

Ce même tribunal régla les derniers litiges.

Cette guerre contribua à la montée en puissance de la bourgeoisie. Elle avait coûté la vie à plus de trente mille hommes.

Le peuple de Liège arracha de multiples libertés au Prince-Évêque qui avait perdu la noblesse comme alliée.

Les châteaux actuels d'Awans et de Waroux n'ont rien à voir avec ceux de l'époque qui furent totalement détruits.

 

Partager cet article
Repost0
15 avril 2017 6 15 /04 /avril /2017 22:16

La principauté de Liège ( suite )

Les belligérants  se donnèrent finalement rendez-vous le jour de la Saint-Barthélemy le 25 août 1325, dans la plaine de Dommartin près de Huy.

Il y avait 350 chevaliers au moins du côté Waroux, menés par Henri III de Hermalle, contre 270 chevaliers ou écuyers menés par Guillaume II de Jeneffe, châtelain de Waremme, côté Awans.

Ils se rangèrent en ligne, ils manquèrent de piétiner les envoyés du Prince qui hurlaient «Trêve ! Trêve de par Monseigneur de Liège » mais leurs cris restèrent sans effets, les chevaliers  se lancèrent dans le combat, suivant l'exemple du seigneur de Waremme.

Après de multiples péripéties, les Awans l’emportèrent. On compta au moins 65 chevaliers morts, dont Henri côté Waroux. Les seigneurs restants des deux parties se retirèrent dans leurs châteaux et, sous la pression  d'une quarantaine d'entre eux, ils se calmèrent.

 

Partager cet article
Repost0
13 avril 2017 4 13 /04 /avril /2017 10:10

La principauté de Liège ( suite )

Si Waroux dépendait du comté de Looz, Awans dépendait de l'abbé de Prüm qui lui-même dépendait de l'évêque de Trèves. Un abbé ne pouvant exercer la justice justice, il était représenté par un Avoué. Dans la pratique et vu la distance, le sire d'Awans avait usurpé ce titre. On comprend donc pourquoi, que le prince-évêque était plutôt favorable aux Waroux.

En aout 1310, le seigneur de Waremme, tenant des Awans, tendit une embuscade à Henri de Hermalle qui ne s'était pas encore engagé dans cette guerre mais que Waremme détestait. Henri, laissé pour mort sur le terrain, survécut cependant et de rage s'engagea dans le camp des Waroux dont il devint le chef.

De nombreuses attaques et des combats locaux ravivaient sans cesse l'inimitié. Le château de Waremme fut ainsi assiégé et pillé en 1313, le château de Hermalle détruit en 1315.

La rage animait les deux clans qui ne pensaient qu'à détruire l'autre. Quand je dis détruire, c'était mettre à feu et à cendre les demeures de l'autre et tuer hommes, femmes et enfants jusqu'à éliminer toute descendance !

 

Partager cet article
Repost0
12 avril 2017 3 12 /04 /avril /2017 17:46

La principauté de Liège ( suite ) La principauté était secouée par une lutte entre deux grandes familles, les Awans et Waroux.C'était une guerre privée.

À la suite d'une trêve rompue, un duel judiciaire fut organisé en avril 1298. Un champion de chacune des parties dut se rendre place Verte à Liège aujourd'hui,place Maréchal Foch, pour en découdre en un duel « à mort ».Ce fut le plus futé, Aynechon, dit le bâtard de Hognoul , du parti des Awans, qui gagna le combat. Il avait laissé mijoter son adversaire, Falloz, damoiseau de Waroux, dans son armure pendant une demi-journée et s’était présenté cinq minutes avant le temps limite.

Le duel n'empêcha pas les hostilités de reprendre et Humbert Corbeau fut tué le 25 mai 1298 lors des combats de Loncin qui se soldèrent par la défaite des Awans.

En théorie, le prince-évêque ne pouvait intervenir dans une guerre privée sauf en cas de plaintes.... Chacune de ses interventions entraînait un carrousel d’alliances entre les parties – le peuple de Liège, les métiers et corporations, le clergé, c’est-à-dire le chapitre de Saint-Lambert, les Awans, les Waroux,

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Les poubelles radioactives
  • : Enterrer ? Enfouir ? Ne serait-ce pas oublier ? Comment traiter les déchets radioactifs ? L'enfouissement des déchets radioactifs dans les conditions actuelles est-il acceptable ? A-t-on préparé le démantèlement des centrales nucléaires ? Les recherches scientifiques permettent-elles, actuellement, le traitement de tous ces déchets pour les rendre inoffensifs ? Sommes-nous assez informés des dangers de toutes ces poubelles nucléaires ?
  • Contact

Recherche

Liens