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15 novembre 2010 1 15 /11 /novembre /2010 14:46

1) Sarkozy et la presse

Ce reportage réalisé par la TSR ( Télévision Suisse Romande ) a été censuré en France.

http://www.bu2z.com/video/reportage-sarkozy-censure.html


Des bruits circulent quant à sa possible disparition d'Internet  !

Enquête intéressante, et depuis sa réalisation, on peut rajouter d’autres sujets...


2)
L'incroyable record de Sarkozy : 20 mensonges en moins d'une minute !



http://www.lepost.fr/article/2010/11/07/2296693_l-incroyable-record-de-sarkozy-20-mensonges-en-moins-d-une-minute.html

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14 novembre 2010 7 14 /11 /novembre /2010 14:49

Les otages français en Afrique

 

L' Afrique se réveille et veut profiter des richesses de son sous-sol !

Les peuples africains ont assez souffert et souffrent toujours des exploitations de produits dangereux, comme l'uranium ! La revendication est légitime, dommage que des équipes d'ouvriers paient pour l'inconscience et la cupidité des Etats qui agissent par l'intermédiaire de grandes sociétés, comme COGEMA ! Les otages sont des innocents....

 

Le scandale d'Arlit.

COGEMA soit-disant: "pionnière pour la protection des mineurs d'uranium" !
Pour illustrer les "bonnes oeuvres" de la COGEMA en Afrique, le site minier d'Arlit au Niger....

"Scandale de l'uranium au Niger"

"Des gamins de quinze et seize ans se font irradier dans les mines sous contrôle français au Niger. Il n'y a quasiment aucune protection contre l'inhalation de gaz radon. La main d'oeuvre, presque exclusivement des nomades Touaregs, reste totalement ignorante des effets de l'exploitation minière. La détection des radiations et les contrôles sanitaires sont inexistants."


Ce ne sont là que quelques uns des faits rapportés par un réalisateur de télévision britannique qui, avec une équipe de caméramans de l'émission Panorama (UK) ont été les premiers étrangers à visiter Arlit dans la partie nord du Niger. Ce qui l'a choqué lors de sa visite durant dix jours de cette région uranifère, une des plus importantes de la planète, ce sont les conditions de vie de la main d'oeuvre locale. Et le contraste avec celles des Français qui occupent les postes de direction.


"Arlit est absolument au milieu de nulle part" m'a-t-il dit dans une interview en exclusivité. " C'est une oasis artificielle construite selon le modèle colonial. Elle a sa propre ville-dortoir avec supermarchés, courses de chevaux, produits de luxe importés de la métropole. Un incroyable choc culturel si l'on compare avec les travailleurs nomades". Selon les responsables de COGEMA, c'est la main d'oeuvre nomade qui vient vers la compagnie plutôt que l'inverse. Souvent les nomades ne restent pas plus d'une semaine, prennent leur paie et s'en vont. Certains ne restent qu'une journée. "C'était la grande récrimination française" dit le réalisateur, "les ouvriers ne font juste que passer".


"Il va de soi que les Français n'informent pas les indigènes qu'ils travaillent dans les mines les plus dangereuses du monde, ils n'entendent jamais parler de mesures dosimétriques des rayonnements et un suivi sanitaire quel qu'il soit est impensable".


"Un sympathique directeur d'Arlit nous a concédé que les nomades travaillaient dans l'ignorance absolue de ce qui pouvait leur arriver dans vingt ou trente ans".

 

Il y a de grandes mines souterraines à Arlit que l'équipe de la télévision a visitées: "une journée sous terre était plus qu'assez" a commenté Olgiati, le réalisateur.

 

<< Le renouvellement d'air semblait correct mais le bruit du forage était insupportable.


Je n'ai vu personne porter de masque.


Les mineurs remontent des galeries en fin de journée recouverts de poussière radioactive de la tête aux pieds >>.

 

Arlit n'est pas la seule mine d'uranium du Niger 

Les Français ont signé l'arrêt de mort de milliers de Nigériens dans les années à venir.

 L'uranium est transporté vers le monde extérieur par camions vers le Bénin et aussi vers la Lybie par Agadez à 250 km au sud-est d'Arlit où l'avion prend la relève. Chaque convoi est gardé sévèrement mais des accidents et des déversements de "yellowcake" sont chose courante. "Il y a toutes sortes d'histoires qui circulent au sujet de déversements d'uranium hors des camions et qui contaminent les réserves d'eau"


Cependant, le plus grand danger est la mine elle-même. Ici, des gens parmi les plus pauvres de la planète travaillent dans un environnement parmi les plus mortels qui soient pour fournir l'énergie aux norias de trains mus à l'électricité des nations les plus riches et alimenter leurs bombes en combustible. Ils sont maintenus dans l'ignorance totale des conséquences de leur travail et lorsqu'ils mourront leur corps ne sera même pas soumis à la formalité d'un examen post-mortem [autopsie]. Il serait difficile de trouver un exemple plus frappant de néo-colonialisme rampant.

Remarque : 

 

Ce scandale des conditions de travail des mineurs d'uranium africains n'a jamais fait partie des préoccupations syndicales en France.

 

Ni d'ailleurs des ONG comme Médecins du Monde que nous avons essayé de sensibiliser à ce problème, mais sans succès


Ceci n'est pas étonnant, puisque, même en France les syndicats des mineurs d'uranium ne se sont guère intéressés à l'excès de mortalité par cancers chez les mineurs d'uranium en particulier par cancers du poumon.

 

Bien plus, ils ont contribué à masquer le problème comme en témoigne le fait que la réunion sur le thème des déchets miniers et de la surmortalité par cancer chez les mineurs d'uranium  n'a pu se tenir à Bessines le 16 décembre 1993 que sous la protection des gendarmes pour empêcher l'intervention violente des dirigeants syndicaux (CGT) qui voulaient casser le matériel de projection de Thierry Lamireau.

Bella Belbéoch,

 

sources :

http://www.dissident-media.org/infonucleaire/niger.html



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13 novembre 2010 6 13 /11 /novembre /2010 20:38
Energie éolienne en Lorraine

Le rapport présenté au gouvernement en octobre 2006 et rédigé par le groupe de travail « Facteur4 » porte sur la division par quatre des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2050. La recommandation N°9 du groupe « outre les efforts incontournables en faveur des économies d’énergie » préconise « d’utiliser dès aujourd’hui toutes les ressources énergétiques disponibles pour minimiser la part carbone du mix énergétique Français ».

La construction de parcs éoliens répond donc au besoin impératif de développement des énergies renouvelables non polluantes, dans une logique de développement durable. En quelques années depuis 2003, la Lorraine a vu se multiplier de nombreux projets de construction de parcs éoliens. En 2005, c’est la Lorraine qui a connu la plus forte progression de la puissance installée parmi les régions françaises (+56 MégaWatts). Une partie de cette évolution est liée à la situation géographique de la région Lorraine, qui présente les premiers reliefs significatifs à l’est du bassin parisien, avec une certaine stabilité des vents dominants d’ouest et de sud ouest .

 

Le parc éolien

fin 2007

Nombre d’éoliennes

installées

Puissance théorique

installée (Mw)

MEURTHE-ET-MOSELLE 16 32
MEUSE 110 221
MOSELLE 25 52
VOSGES 0 0
LORRAINE 151 305
France métropolitaine 1540 2440

 

Les espèces

Les espèces de la flore et de la faune sauvages les plus menacées ou rares font l’objet de dispositions réglementaires régionales, nationales et internationales. L’objectif est d’assurer la préservation de ces espèces et dans certains cas de leur habitat.

La réglementation française vise à interdire, pour les espèces protégées elles-même et parfois pour leurs habitats, la destruction, la capture, l’achat ou vente, l’utilisation de tout ou partie des espèces sauvages en question. Par ailleurs, les activités ayant trait aux espèces animales sauvages indigènes et exotiques sont réglementées.

Enfin, les échanges concernant certaines espèces sont surveillés, par la convention de Washington (ou CITES), ratifiée par 167 pays.

Pour certaines espèces très menacées, le MEEDDAT valide des plans nationaux de restauration initiés localement. Ces plans visent à une meilleure connaissance de la biologie de l’espèce, un travail de sensibilisation et des actions de gestion d’habitats voire de gestion d’espèce (réintroduction, renforcement de population…).

Par contre, un certain nombre d’espèces exotiques se montrent agressives vis-à-vis des milieux qu’elles colonisent au point de devenir envahissantes. C’est le cas pour la région d’espèces végétales telles que les jussies ou d’espèces animales (Ragondin, Grenouille taureau).

 

Espèces protégées

La loi du 10 juillet 1976 relative à la protection de la nature a fixé les principes et les objectifs de la politique nationale de la protection de la faune et de la flore sauvages. Les espèces protégées en droit français sont les espèces animales et végétales dont les listes sont fixées par arrêtés ministériels en application du code de l’environnement.

Les articles L411-1 et 2 du code de l’environnement fixent les principes de protection des espèces et prévoient notamment l’établissement de listes d’espèces protégées. Ainsi, on entend par espèces protégées toutes les espèces visées par les arrêtés ministériels de protection.

Les arrêtés (faune et flore) interdisent, en règle générale (se reporter aux arrêtés pour plus de précisions) :

  • l’atteinte aux spécimens (la destruction, la mutilation, la capture, ou l’enlèvement, des animaux quel que soit leur stade de développement, et de tout ou partie des plantes) ;
  • la perturbation intentionnelle des animaux dans le milieu naturel ;
  • la dégradation des habitats, et en particulier les éléments physiques ou biologiques réputés nécessaires à la reproduction ou au repos de l’espèce considérée,
  • la détention, le transport, la naturalisation, le colportage, la mise en vente, la vente ou l’achat, l’utilisation commerciale ou non, des spécimens prélevés dans le milieu naturel

Il y a cependant différents niveaux de protection : pour certaines espèces, la destruction, l’altération ou la dégradation de leur milieu particulier ne sont pas interdits (en particulier celles non listées à l’annexe IV de la directive habitat).

De plus, des dérogations à ces interdictions sont possibles dans certains cas. Pour plus d’information, se reporter à l’article "Capture ou destruction d’habitat ou d’espèce protégée"

Concernant la flore, il faut noter que le niveau de protection est le même entre l’arrêté de protection nationale ou régionale.

 

Sources : lorraine écologie

http://www.lorraine.ecologie.gouv.fr/spip.php?rubrique168

 

 

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12 novembre 2010 5 12 /11 /novembre /2010 15:11

Quand le train d'enfer  est passé, AREVA a  fait la loi


- Le directeur de la SNCFa intervenu en personne pour interdire des mesures de radioactivité

A Sotteville-les-Rouen, les militants avaient négocié avec les autorités l'autorisation de réaliser des mesures de radioactivité. Le directeur de la SNCF, Guillaume Pepy, est intervenu en personne pour tenter de les faire interdire. Malgré tout, ils sont parvenus à réaliser ces mesures: la radioactivité émise par le convoi, à 6 mètres de distance, est 20 fois supérieure au taux de radioactivité naturel. On comprend pourquoi ces mesures paraissaient si gênantes !

- La SNCF mobilise ses équipes techniques et modifie les plannings

Du jamais vu : dans le Nord de la France, la Direction de la SNCF a mobilisé ses équipes techniques et fait modifier les plannings des cheminots pour que ceux-ci se rendent sur les voies.  Cette décision soudaine laisse difficilement croire qu'il s'agisse de travaux de maintenance.

 

 

Au lendemain du long périple du train de l’enfer (La Hague-Gorleben)
La Fédération Grand-Est STOP Déchets Nucléaires dénonce
La folie de l'enfouissement des déchets radioactifs à BURE.
EAU... secours !

http://www.villesurterre.com/index.php?option=com_content&task=view&id=332

 

Informations :

  • Le MOX : Depuis 1985, des réacteurs nucléaires français à eau pressurisée ont été adaptés pour brûler des assemblages d'un nouveau combustible contenant 5 à 7 % de plutonium mélangé à de l'uranium normal en voie de retraitement (le MOX). Actuellement, 19 réacteurs d'EDF sont régulièrement chargés en MOX. Pour ne pas affecter le fonctionnement des réacteurs à eau pressurisée qui n'ont pas été conçus pour le plutonium, on n'introduit dans la charge de combustible que 30 % d'assemblages de MOX à côté de 70 % d'assemblages traditionnels d'uranium enrichi. Le MOX présente ainsi le même avantage que les surgénérateurs : recycler une partie du plutonium issu du retraitement. Il faut extraire le plutonium d'environ sept assemblages de combustible irradié pour constituer un assemblage de MOX. Pour consommer le plutonium retraité, il faudrait adapter à l'usage du MOX 28 réacteurs français au lieu de 20 actuellement. L'irradiation d'un assemblage MOX générant à peu près la même quantité de plutonium, la production de plutonium est au total réduite de 30 %. Le recyclage multiple du MOX irradié, plus radioactif, n'est pas envisagé. À l'instar des réacteurs à neutrons rapides, le MOX peut être fabriqué en incorporant du plutonium militaire, plus riche en isotopes fissiles, soit en le dégradant avec du plutonium civil moins riche, soit en le brûlant directement. Russes et Américains s'intéressent d'ailleurs à cette technique pour démanteler leur stock de bombes atomiques.

sources : wikipédia


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11 novembre 2010 4 11 /11 /novembre /2010 15:38





COMMUNIQUE

Mardi 9 Novembre 2010

______________________________

 

 

La folie de l’enfouissement des déchets radioactifs à Bure. EAU… secours !

 

 

Le train chargé de poisons radioactifs aura au moins permis de mettre en lumière l’une des tares majeures de l’énergie nucléaire. La production et l’amoncellement de déchets, aussi radioactifs qu’ingérables, relance la question des fausses solutions préconisées par le cartel atomique international. Avec 58 réacteurs nucléaires, la France va se réveiller avec une sérieuse gueule de bois.

 

Que faire des déchets radioactifs à toxicité quasi éternelle ? Comment les gérer ? Ceux qui ont lancé le monde dans l’aventure électro-nucléaire ont longtemps affirmé que « plus tard » on trouverait des solutions aux déchets produits. Le « plus tard » ayant sans cesse été repoussé, les doctes gestionnaires n’ont rien trouvé de mieux que de se débarrasser de ces poisons violents en les enfouissant à plusieurs centaines de mètres de profondeur. Cette pseudo-solution a, depuis, fait long feu, les pouvoirs publics découvrant ici et là s’être faits roulés dans la farine. Aux Etats-Unis ils viennent de stopper le projet de Yucca-Mountain, découvrant que l’existence d’une faille sismique avait été cachée. En Allemagne ils ne savent à quel saint se vouer face à des infiltrations d’eau massives dans le cimetière nucléaire souterrain de Asse, et ils viennent d’apprendre que sur le site de Gorleben des problèmes géologiques ont été tus. Et ici, en France ?

 

L’ennemi n°1 d’un enfouissement de déchets radioactifs, c’est l’eau. Cette eau qui corrodrait l’emballage des déchets, libèrerait alors les particules radioactives et les entraînerait au fil des circulations souterraines, contaminant de très vastes régions. A Bure (Meuse/Haute-Marne), l’agence des déchets radioactifs a répété, pendant des années, que le sous-sol était idéal car opportunément sec . C’était compter sans les compétences de géologues autrement plus libres  que ceux qui gagnent leur pain au service du lobby de l’atome  et la ténacité d’associatifs qui ont fini par faire avouer à l’agence des déchets radioactifs (Andra) qu’en réalité « le sous-sol de Bure contient des millions de m3 d’eau ». Ce qui d’ailleurs n’est que pure logique : la couche géologique supérieure, à Bure, étant composée de calcaire (oxfordien) et celui-ci étant truffé de gouffres et autres cavités, un tel faciès géologique ne peut que piéger l’eau. Et en quantités telles que, de temps immémorial, cette micro-région est localement qualifiée de « château d’eau ».

Aujourd’hui la zone de Bure est un bloc homogène, coincé entre deux fossés d’effondrement majeurs : le fossé de Gondrecourt-le-Château et la faille (vallée) de la Marne. Si, de folle aventure, le projet d’enfouissement allait à son terme, le sous-sol (à 500 mètres de profondeur) se verrait transformé en véritable gruyère de par la multitude de galeries creusées (emprise de 4 km sur 4km). Le bloc n’étant alors plus homogène il subirait les effets de séismes réguliers se produisant à seulement à quelques dizaines de km . Il verrait se rouvrir des failles et micro-failles colmatées, drainant et entraînant alors les eaux supérieures vers le cimetière radioactif souterrain. Or, les couches géologiques de la région de Bure n’étant pas horizontales mais inclinées vers l’Ouest, les circulations d’eaux souterraines porteraient essentiellement et irrémédiablement leur contamination vers la vallée de la Marne, qui de là diffuserait sur tout le Bassin Parisien . Non seulement les trains et les camions charrient les poisons radioactifs mais les rivières et les nappes phréatiques aussi.

 

Si l’enfouissement des déchets radioactifs est un pari sur l’avenir, et donc une folie, à Bure c’est un crime qui se prépare…

 

 

Déchets nucléaires : arrêter d’en produire, surtout ne pas enfouir !

 

Sortir, en urgence, du nucléaire. C’est possible, dès aujourd’hui, par une réelle volonté politique d’efficacité énergétique, de recours aux renouvelables, de réflexion sur la consommation

----------------

 

Quand Jean Rostand disait : "l'obligation de subir nous donne le droit de savoir"

nous répondons en écho : "ne plus subir, à présent agir !"

 

Prochaine actualité :

ne pas se leurrer par 3 pseudo « enquêtes publiques » que lance l’Andra dans la région de Bure,

dénoncer pour bloquer l’engrenage infernal mis en place

 

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10 novembre 2010 3 10 /11 /novembre /2010 19:20

La violence n'est pas chez les anti-nucléaires.....


Ils n'ont menacé personne ! Ils ont cherché à ouvrir les yeux de leurs contemporains !  Les convois radioactifs, le traitement des déchets radioactifs ne peuvent pas être des solutions acceptables , les conditions actuelles sont intolérables , guidées par la cupidité et l'inconscience des hommes ....

 

APPEL NATIONAL URGENT À SOUTENIR 7 MILITANTS ACCUSÉS D'AVOIR AGI CONTRE LE NUCLÉAIRE


Ils s'appellent Félix, Hélène, Aurélie, Christelle, Maxime, Damien et Thomas.
Tous ont la particularité d'avoir bloqué pendant trois heures et demi un convoi de déchets radioactifs à Caen le 5 novembre dernier.

Trois jeunes activistes ont été gravement blessés aux mains (un a eu deux tendons sectionnés à la main gauche).

Ces jeunes gens méritaient-ils ces blessures ?

Le 9 novembre, les militants ont porté plainte contre X pour violences volontaires par personne dépositaire de l'autorité publique.
 
Les militants ont besoin de 15 000 euros pour payer une caution demandée par le justice d’ici le 15 novembre.
À défaut de paiement, les 7 jeunes militants seront incarcérées jusqu’à leur procès, qui se tiendra le 8 décembre à 14h au tribunal de Caen.


Merci de votre indispensable soutien.
Ces jeunes militants se sont trouvés face à d'autres jeunes, comme eux, mais des policiers ! Ces policiers, n'ont-ils pas de famille ? des enfants ? Quand on sait qu'aucun scientifiques ne peut affirmer que l'exposition à tous ces déchets est insignifiante ! Pourquoi cette violence ? Nous savons que l'exposition à de faibles doses fait des ravages sur tous les organismes, que le mal insidieux se développe silencieusement pour exploser au bout de 2, 3, 4, 5 ..... 10 ans, suivant les organismes !
Pourquoi cette explosion de violence face à des jeunes, non-violents ? Ce ne sont pas des assassins ! Ce ne sont pas des violeurs récidivistes ! Ce ne sont que des jeunes qui ont un idéal pour notre Terre !
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9 novembre 2010 2 09 /11 /novembre /2010 18:22

URGENT – SUIVI DU TRAIN D'ENFER

Communiqué de presse du lundi 8 novembre à 1 h 30

Face à la détermination citoyenne,
la police violente les manifestants, mais finit par capituler.


Le train n'a pas redémarré  avant  lundi 8 novembre

 

Communiqué du lundi 8 novembre 2010

 

 

Le Réseau "Sortir du nucléaire" révèle que le train d'enfer ne redémarrera pas avant le lundi 7 novembre 9 h au mieux du fait de la mobilisation massive des opposants au nucléaire.

Depuis son départ en France de la gare de Valognes dans la Manche le vendredi 5 octobre à 14 h 30 et après un périple de 2 500 km, le train est actuellement stationné en Allemagne à Dahlenburg à 40 km du terminal ferroviaire de Dannenberg. En effet, hier soir la police a capitulé face à la présence massive de manifestants sur les voies et a entouré le train à l'arrêt de « barbelés rasoirs ».

A Dannenberg Ost, les 11 conteneurs « Castor » devraient ensuite être chargés sur des camions, pour  parcourir, par la route, les 25 derniers km jusqu'au centre d'entreposage de Gorleben. Du fait d'une très forte mobilisation populaire, c'est la première fois qu'un convoi de déchets radioactifs mettra autant de temps à arriver à Gorleben, s'il y arrive un jour.

Militants pacifiques et déterminés – Société nucléaire, État policier



Grâce à ses informateurs sur le terrain en Allemagne, le Réseau "Sortir du nucléaire" assure un suivi heure par heure de l'avancée du train et des mobilisations. Il publie, sur son site internet, des informations exclusives en France, notamment une vidéo accablante des violences policières perpétrées dans la journée du 7 novembre sur des militant-e-s criant « Keine Gewalt! - Non à la violence ! ».

"Ces violences policière intolérables contre des manifestants aussi déterminés que pacifiques, font écho à celles subies en France par les militant-e-s du GANVA (Groupe d'Actions Non-Violentes Antinucléaire), confirmant ainsi le célèbre adage « Société Nucléaire – Société policière »", s'insurge Charlotte Mijeon, porte parole du Réseau "Sortir du nucléaire".

Suivi exclusif heure par heure de la mobilisation et lien vers la vidéo sur les violences policières en Allemagne:


http://groupes.sortirdunucleaire.org/blogs/train-d-enfer-transport-la-hague

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7 novembre 2010 7 07 /11 /novembre /2010 17:29

Réseau "Sortir du nucléaire", fédération de 875 associations agréée pour la protection de l'environnement


http://groupes.sortirdunucleaire.org/blogs/train-d-enfer-transport-la-hague/  

 

 

La violence n'est pas le fait du Réseau " Sortir du nucléaire "  ! Nous sommes pour la protection de l'environnement , nous protégeons l'avenir de nos enfants , petits-enfants et de toutes les générations futures .

La marche du train infernal n'a jamais été mise en danger par nos actions ! Au contraire, nous avons exercé une grande  surveillance sur les " castors radioactfs " il s'agissait d'éviter tout accident qui aurait pu nuire aux populations !

 

Imaginez, un accident ou incident grave ! Combien de personnes atteintes ?

Ces convois de la mort doivent être protégés du  terrorisme et de tous les fous , capables de commettre des actes "imbéciles "et incontrôlés  !

 

Gardons bien en mémoire que ce train radioactif émettait , sur son passage, des radiations supérieures à celles émises par Tchernobyl !

 

On nous parle de "superphénix" qui aurait pu utiliser le combustible et l'épuiser complétement , rendant les déchets inoffensifs .


Les caractéristiques techniques


Superphénix est une réacteur rapide refroidi au Sodium. Le cœur est constitué d’un mélange d’oxyde d’Uranium (naturel ou appauvri) et d’oxyde de Plutonium dans la proportion 85%, 15%. La masse de plutonium présente dans le cœur atteint 5 tonnes. Autour du cœur sont disposées des couvertures axiales et radiales chargées, initialement, en Uranium naturel ou appauvri.

La puissance thermique de Superphénix est de 3000 Mégawatts correspondant à une puissance électrique de 1200 Mégawatts. En un an, à raison d’un fonctionnement à pleine puissance de 6600 heures (75 % de taux de disponibilité), 8 Twh devraient être produits. Cette énergie serait produite par la fission de 800 Kg de Plutonium1.

 

En même temps, à partir de l’Uranium 238, 640 Kg de Plutonium sont produits dans le cœur, et 320 Kg dans les couvertures, soit une production totale de 960 Kg de Plutonium. Il s’ensuit une production nette de 160 Kg de Plutonium par an (surgénération). Au bout de 31 ans la quantité de plutonium initiale sera donc doublée (temps de doublement). En remplaçant l’Uranium des couvertures par une matrice inerte le réacteur pourrait devenir sous-générateur, avec une consommation nette de 160 Kg par an, de l’ordre de grandeur de la production annuelle d’un réacteur à eau pressurisée (REP).

 

Je ne suis pas spécialiste, mais je vois que" superphénix "nous aurait fait faire des économies d'uranium !

 

Les restes de combustible seraient peu radioactifs mais les déchets obtenus par les entretiens et les démantèlements seraient, je pense, aussi dangereux !

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7 novembre 2010 7 07 /11 /novembre /2010 10:33

Communiqué de presse du 5 novembre 2010

 Le Réseau "Sortir du nucléaire" soutient les antinucléaires non-violents qui bloquent le « train d'enfer »

Les 5 et 6 novembre, le « train d'enfer » transporte vers l'Allemagne 11 conteneurs de déchets très hautement radioactifs (3917.4 millions de milliards de becquerels, soit deux fois la radioactivité dégagée par Tchernobyl). Moins de deux heures après son départ, il a été bloqué une première fois à Caen par quatre militants du GANVA (Groupe d'Actions Non-Violentes Antinucléaires).

 

 

Photos exclusives du blocage de Caen :


http://groupes.sortirdunucleaire.org/blogs/train-d-enfer-transport-la-hague/article/photos-du-blocage-et-de-la-manif-a

Pour le Réseau "Sortir du nucléaire", les déchets dangereux transportés par ce train doivent bien retourner dans les centrales nucléaires allemandes : les entreprises qui les ont produits doivent en assumer toute la responsabilité financière et écologique.


Pour autant, le Réseau "Sortir du nucléaire" apporte tout son soutien aux lanceurs d'alerte. Leurs actions non-violentes font la lumière sur l'impasse nucléaire, dénoncent le secret qui règne autour de ces transports dangereux et montrent qu'il n'existe pas de solution pour gérer les déchets nucléaires. Ces actions montrent aussi à quel point la sécurisation de ces transports est dérisoire, contrairement à ce qu'a affirmé le PDG d'Areva le 5 novembre sur France Info.


La vraie menace ne vient pas des lanceurs d'alerte non-violents, mais du nucléaire lui-même. Le nucléaire, développé en France sans consultation, nuit à la démocratie et à la santé des populations. Ses conséquences néfastes hypothèquent l'avenir pour des dizaines de générations.


Face à l’impasse des déchets nucléaires, une seule solution : arrêter d’en produire ! La sortie du nucléaire est possible, en particulier par les économies d’énergie, la sobriété énergétique et les énergies renouvelables.

 

La recherche permettant de développer les moyens de rendre les déchets radioactifs inoffensifs pour l'homme, la faune et la flore est-elle financée ?


Lien pour suivre le
"train d'enfer" au fil du trajet, informations sur le convoi, le défaut d'assurance, les actions locales...
http://groupes.sortirdunucleaire.org/blogs/train-d-enfer-transport-la-hague/

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7 novembre 2010 7 07 /11 /novembre /2010 01:12

URGENT - COMMUNIQUÉ DE PRESSE DU SAMEDI 6 NOVEMBRE À 2 H 00

SCOOP - Le Réseau "Sortir du nucléaire" révèle le nouveau trajet et les nouveaux horaires du train d'enfer
http://groupes.sortirdunucleaire.org/blogs/train-d-enfer-transport-la-hague/

Face aux mobilisations, les autorités ont décidé au dernier moment de modifier le trajet du « train d'enfer ».

Alors que le train d'enfer devait prendre cette nuit la direction du Nord de la France, où de nombreuses mobilisations étaient prévues, et passer par les villes de Arras, Valenciennes, Fourmies, Hirson et Charleville, le Réseau "Sortir du nucléaire" révèle que le train prendra finalement, après la gare de triage d'Amiens (Longueau), la direction de Reims (51), puis passera par Châlon-en-Champagne (51) et Metz (57).

Une fois de plus l'opacité est de mise dans le nucléaire en laissant la population dans l'ignorance des risques qu'elle encourt.

« Face à la mobilisation massive des associations, et aux initiatives qui se  multiplient depuis deux jours pour informer la population, le lobby nucléaire préfère encore une fois jouer la carte de l'opacité totale et choisit de détourner le train au dernier moment. Areva aurait-elle donc quelque chose à cacher ? » ironise Laura Hameaux, porte-parole du Réseau « Sortir du nucléaire ».

Quand le train d'enfer passe, AREVA fait la loi

Les autorités et l'administration française sont à la botte du lobby nucléaire :

- Le directeur de la SNCF intervient en personne pour interdire des mesures de radioactivité

A Sotteville-les-Rouen, les militants avaient négocié avec les autorités l'autorisation de réaliser des mesures de radioactivité. Le directeur de la SNCF, Guillaume Pepy, est intervenu en personne pour tenter de les faire interdire. Malgré tout, ils sont parvenus à réaliser ces mesures: la radioactivité émise par le convoi, à 6 mètres de distance, est 20 fois supérieure au taux de radioactivité naturel. On comprend pourquoi ces mesures paraissaient si gênantes !

- La SNCF mobilise ses équipes techniques et modifie les plannings

 

Du jamais vu : dans le Nord de la France, la Direction de la SNCF a mobilisé ses équipes techniques et fait modifier les plannings des cheminots pour que ceux-ci se rendent sur les voies.  Cette décision soudaine laisse difficilement croire qu'il s'agisse de travaux de maintenance.

Les militants pacifistes qui protestent contre le nucléaire sont-ils donc terrifiants au point que la SNCF demande à ses agents de se mettre aux aguets pour les attendre ?

Le Réseau « Sortir du nucléaire » rappelle qu'il n'existe aucune solution pour gérer les déchets nucléaires.

Il faut ne surtout pas les enfouir et arrêter d'en produire! Sortons du nucléaire.

Suivez l'actualité en directe du train d'enfer sur :
http://groupes.sortirdunucleaire.org/blogs/train-d-enfer-transport-la-hague/

 

Communiqué de presse du 6 novembre 2010

Train d'enfer : les élus ont été tenus dans l'ignorance !


Le Réseau "Sortir du nucléaire" révèle que les maires des nombreuses communes traversées n'ont pas été informés du passage du train radioactif qui vient de rejoindre l'Allemagne. Le "train d'enfer" a pourtant parcouru 1500 km en France à travers 12 départements. En tenant les élus du peuple dans la plus stricte ignorance de leurs activités, AREVA et le lobby nucléaire montrent tout leur mépris envers la démocratie. Un véritable Tchernobyl sur rail a circulé en France pendant 24 h d'ouest en est, et l'Etat aurait voulu que les citoyens n'en sachent rien. Le "fait du prince" atomique est inadmissible.

Le Réseau "Sortir du nucléaire" a joué son rôle de lanceur d'alerte en révélant le trajet et les horaires du train d'enfer. Le dispositif policier n'aura pas réussi à faire taire les antinucléaires, et met en lumière l'opacité et l'autoritarisme qui entourent le nucléaire. AREVA a dû détourner le "train d'enfer" 2 fois de suite (une première !) pour fuir les regards des militants et des journalistes.

Le train a maintenant passé la frontière allemande. Le Réseau "Sortir du nucléaire" apporte tout son soutien aux actions de protestation non-violentes menées par les citoyens allemands, notamment le blocage de Berg et la grande manifestation qui a rassemblé aujourd'hui 50 000 personnes à Dannenberg, dans la région où les déchets seront entreposés.

Le Réseau "Sortir du nucléaire" dénonce le dispositif policier impressionnant, son coût pour la démocratie… et pour les contribuables ! La collectivité paye des centaines de milliers d'euros pour le déploiement impressionnant des forces de l'ordre (hélicoptères, compagnies de CRS...) qui protègent les seuls intérêts d'AREVA et de l'industrie nucléaire. Quant au coût de la gestion des déchets nucléaires, il demeure inconnu, même si l'on sait qu'il sera astronomique. Et pour cause : il n'existe aucune solution pour gérer ces déchets. La seule politique responsable est d'arrêter d'en produire, donc de sortir du nucléaire.

Contacts presse :
Charlotte Mijeon : 06 75 36 20 20
Nadine Schneider : 06 85 50 82 77
Jean-Pierre Minne : 06 71 07 24 47
Daniel Roussée : 06 61 97 83 28

Suivez la mobilisation heure par heure du train d'enfer sur :
http://groupes.sortirdunucleaire.org/blogs/train-d-enfer-transport-la-hague/

 

 

 


 

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  • : Les poubelles radioactives
  • : Enterrer ? Enfouir ? Ne serait-ce pas oublier ? Comment traiter les déchets radioactifs ? L'enfouissement des déchets radioactifs dans les conditions actuelles est-il acceptable ? A-t-on préparé le démantèlement des centrales nucléaires ? Les recherches scientifiques permettent-elles, actuellement, le traitement de tous ces déchets pour les rendre inoffensifs ? Sommes-nous assez informés des dangers de toutes ces poubelles nucléaires ?
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